Le chemin chaotique de Niombor devrait servir de modèle à l’opposition, pour le vaincre, il ne suffit pas de pérorer pour convaincre des sénégalais aux abois à cause d’une politique absurde et utopique d’un prince et son fils. Il ne suffit pas non plus de passer par des communiqués de presse pour mobiliser et sensibiliser des citoyens moribonds. Les commandes du navire sont entre les mains d’un octogénaire comme si il était victime de cette maladie du tremblement essentiel. Prendre les commandes est un devoir.
Devant des pseudo opposants, Wade et son pouvoir ont commis toutes les forfaitures inimaginables aux mépris des lois et règlement du pays afin de sauvegarder les intérêts d’un système mafieux, d’une famille, d’un clan et d’un parti.
Moustapha Niass, Ousmane Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily, Talla Sylla, Macky Sall et Amath Dansokho au-delà de leurs querelles politiques historiques pour certains, ils forment une opposition de façade. L’équation de la candidature unique n’a pas toujours trouvé une solution ou des solutions.
L’absence de l’opposition à l’Assemblée Nationale, certes est l’une des erreurs monumentales qu’il ne fallait pas faire.
Cette absence devrait renforcer l’engagement de tous les ténors de l’opposition pour faire face à Wade, car « ses députés » ne sont que des chevaux de courses avec des œillères qui votent aveuglement toutes les sornettes d’un chef.
Le PDSL et sa constance ne se retrouvent que dans le désordre, l’opposition se verse dans des querelles et calculs de positionnement au détriment des intérêts des sénégalais.
Faut –il accepter la main tendue de Wade pour dialoguer ? C’est du leurre le président ne dialoguera jamais tant qu’il y’a au sein de l’opposition un semblant d’unité. La seule alternative pour sortir le pays dans l’impasse est de s’unir et d’accepter de se ranger derrière le candidat choisi qui potentiellement est à la hauteur de l’adversaire.
Khadimly@live.fr
Devant des pseudo opposants, Wade et son pouvoir ont commis toutes les forfaitures inimaginables aux mépris des lois et règlement du pays afin de sauvegarder les intérêts d’un système mafieux, d’une famille, d’un clan et d’un parti.
Moustapha Niass, Ousmane Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily, Talla Sylla, Macky Sall et Amath Dansokho au-delà de leurs querelles politiques historiques pour certains, ils forment une opposition de façade. L’équation de la candidature unique n’a pas toujours trouvé une solution ou des solutions.
L’absence de l’opposition à l’Assemblée Nationale, certes est l’une des erreurs monumentales qu’il ne fallait pas faire.
Cette absence devrait renforcer l’engagement de tous les ténors de l’opposition pour faire face à Wade, car « ses députés » ne sont que des chevaux de courses avec des œillères qui votent aveuglement toutes les sornettes d’un chef.
Le PDSL et sa constance ne se retrouvent que dans le désordre, l’opposition se verse dans des querelles et calculs de positionnement au détriment des intérêts des sénégalais.
Faut –il accepter la main tendue de Wade pour dialoguer ? C’est du leurre le président ne dialoguera jamais tant qu’il y’a au sein de l’opposition un semblant d’unité. La seule alternative pour sortir le pays dans l’impasse est de s’unir et d’accepter de se ranger derrière le candidat choisi qui potentiellement est à la hauteur de l’adversaire.
Khadimly@live.fr