‘’Nous allons nous battre pour améliorer l’éducation au niveau primaire, secondaire et aussi nous battre pour qu’il y ait un Centre universitaire régional à Tambacounda qui est une vaste région malgré la séparation des deux régions’’, a dit Abdoul Khadre Cissokho dans un entretien conjoint accordé à l’APS, au Soleil et à Sud Quotidien.
‘’Pourquoi pas d’ailleurs une université commune avec la région de Kédougou pour éviter le gaspillage, permettre de décongestionner la capitale et faciliter la formation des cadres supérieurs de la région’’, s’est-il interrogé. Il a d’ailleurs noté que cette université pourrait accueillir les étudiants originaires de la région de Matam.
Toujours dans le domaine de l’éducation, M. Cissokho a déploré le fait que des lycées aient été érigés en établissements secondaires, ainsi que ‘’des écoles primaires en collèges et des collèges en lycées’’ ‘’sans que les bâtiments soient au rendez-vous’’. ‘’Il faut que la construction des infrastructures nécessaires aux lycées et collèges précédent la mise en place des enseignants et des professeurs’’, a-t-il suggéré.
Abdoul Khadre Cissokho, en abordant le volet culturel, a souhaité la mise en place d’une industrie culturelle et a révélé que le Conseil régional de Tambacounda et ses partenaires de l’Isère ont un programme d’installation d’un studio d’enregistrement. A ce propos, il a relevé que l’instance régionale a mis en place un agenda culturel qui a pu identifier et mettre en archives les potentialités culturelles de la région de Tambacounda. D’ailleurs, le ministre de la Culture Mame Birame Diouf, lors d’une visite dans la région, avait déclaré que Tambacounda doit être le deuxième pôle culturel du pays, a-t-il dit.
Concernant l’agriculture, M. Cissokho a plaidé pour que les compétences liées à ce secteur soient transférées aux collectivités locales, pour que la région puisse travailler directement avec les populations de la région de Tambacounda qui est aussi une région d’élevage. Cela permettrait de développer une agriculture intégrée à la foresterie, afin de faire des communautés rurales des pôles de développement.
‘’Pourquoi pas d’ailleurs une université commune avec la région de Kédougou pour éviter le gaspillage, permettre de décongestionner la capitale et faciliter la formation des cadres supérieurs de la région’’, s’est-il interrogé. Il a d’ailleurs noté que cette université pourrait accueillir les étudiants originaires de la région de Matam.
Toujours dans le domaine de l’éducation, M. Cissokho a déploré le fait que des lycées aient été érigés en établissements secondaires, ainsi que ‘’des écoles primaires en collèges et des collèges en lycées’’ ‘’sans que les bâtiments soient au rendez-vous’’. ‘’Il faut que la construction des infrastructures nécessaires aux lycées et collèges précédent la mise en place des enseignants et des professeurs’’, a-t-il suggéré.
Abdoul Khadre Cissokho, en abordant le volet culturel, a souhaité la mise en place d’une industrie culturelle et a révélé que le Conseil régional de Tambacounda et ses partenaires de l’Isère ont un programme d’installation d’un studio d’enregistrement. A ce propos, il a relevé que l’instance régionale a mis en place un agenda culturel qui a pu identifier et mettre en archives les potentialités culturelles de la région de Tambacounda. D’ailleurs, le ministre de la Culture Mame Birame Diouf, lors d’une visite dans la région, avait déclaré que Tambacounda doit être le deuxième pôle culturel du pays, a-t-il dit.
Concernant l’agriculture, M. Cissokho a plaidé pour que les compétences liées à ce secteur soient transférées aux collectivités locales, pour que la région puisse travailler directement avec les populations de la région de Tambacounda qui est aussi une région d’élevage. Cela permettrait de développer une agriculture intégrée à la foresterie, afin de faire des communautés rurales des pôles de développement.