"Je suis prêt à me retirer et à ne pas me porter candidat aux prochaines élections si cela peut servir à rassembler les modérés qui ne se reconnaissent pas dans la gauche", a-t-il déclaré lors d'une intervention sur la chaîne privée Canale 5, dont il est propriétaire.
"Si les modérés s'unissent, ils seront majoritaires, sinon c'est la gauche qui l'emportera", a-t-il estimé.
S'il n'était pas candidat au poste de président du Conseil, il n'exclut pas que l'actuel chef de gouvernement Mario Monti puisse l'être à sa place.
"Je n'exclus pas que cela puisse être Mario Monti, qui a toujours fait partie du camp des libéraux et des modérés. Cela pourrait être lui, mais il y aussi d'autres noms qui peuvent faire l'objet d'un consensus."
Cette prise de position intervient alors que le parti du Cavaliere, le Peuple de la Liberté (PDL), doit faire face à une vague de scandales.
L'ex-chef du groupe parlementaire régional du PDL a ainsi été arrêté il y a une semaine dans le cadre du vaste scandale financier qui frappe depuis plusieurs semaines le parlement de la région de Rome. Le président de la région Lombardie, Roberto Formigoni, également membre du PDL, est lui soupçonné de corruption.
Silvio Berlusconi, 76 ans, arrivé au pouvoir en mai 2008, a dû démissionner en novembre 2011 lors de la tourmente financière qui menaçait l'Italie.
"Si les modérés s'unissent, ils seront majoritaires, sinon c'est la gauche qui l'emportera", a-t-il estimé.
S'il n'était pas candidat au poste de président du Conseil, il n'exclut pas que l'actuel chef de gouvernement Mario Monti puisse l'être à sa place.
"Je n'exclus pas que cela puisse être Mario Monti, qui a toujours fait partie du camp des libéraux et des modérés. Cela pourrait être lui, mais il y aussi d'autres noms qui peuvent faire l'objet d'un consensus."
Cette prise de position intervient alors que le parti du Cavaliere, le Peuple de la Liberté (PDL), doit faire face à une vague de scandales.
L'ex-chef du groupe parlementaire régional du PDL a ainsi été arrêté il y a une semaine dans le cadre du vaste scandale financier qui frappe depuis plusieurs semaines le parlement de la région de Rome. Le président de la région Lombardie, Roberto Formigoni, également membre du PDL, est lui soupçonné de corruption.
Silvio Berlusconi, 76 ans, arrivé au pouvoir en mai 2008, a dû démissionner en novembre 2011 lors de la tourmente financière qui menaçait l'Italie.