Il s'agit du premier site palestinien inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture.
Les Palestiniens, entrés à l'Unesco en octobre 2011 au terme d'un vote qui avait provoqué la colère des Israéliens et des Américains, avaient fait la demande d'une inscription du site dans une procédure en "urgence". Ils avaient argué du "délabrement et de la dégradation de l'ensemble architectural", notamment du fait des "forces d'occupation" israéliennes.
Israël avait affirmé n'avoir "aucune objection" à l'inscription du site au Patrimoine mondial, mais avait contesté le recours à la procédure d'urgence, estimant que c'était "une façon de laisser entendre qu'Israël ne protégeait pas le site".
"Cette reconnaissance par le monde des droits du peuple palestinien est une victoire pour notre cause et la justice", a déclaré Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas. Le négociateur palestinien Saëb Erakat a salué de son côté "un jour historique".
Les Palestiniens, entrés à l'Unesco en octobre 2011 au terme d'un vote qui avait provoqué la colère des Israéliens et des Américains, avaient fait la demande d'une inscription du site dans une procédure en "urgence". Ils avaient argué du "délabrement et de la dégradation de l'ensemble architectural", notamment du fait des "forces d'occupation" israéliennes.
Israël avait affirmé n'avoir "aucune objection" à l'inscription du site au Patrimoine mondial, mais avait contesté le recours à la procédure d'urgence, estimant que c'était "une façon de laisser entendre qu'Israël ne protégeait pas le site".
"Cette reconnaissance par le monde des droits du peuple palestinien est une victoire pour notre cause et la justice", a déclaré Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas. Le négociateur palestinien Saëb Erakat a salué de son côté "un jour historique".