Selon le chef d’Unité de gestion du ranch de gibier de Nazinga, interrogé par Sidwaya, le parc animalier de l’est du pays souffre considérablement de cette chasse à l’ivoire.
Depuis le début de l’année, cinq éléphants auraient déjà été abattus pour leurs défenses, rapporte l’homme au quotidien.
Les blessures constatées sur les animaux, commises par des armes et munitions coûteuses et sophistiquées, tendent à prouver que les braconniers sont organisés en réseaux, explique-t-il.
Le dernier éléphant victime des braconniers était l’un des plus emblématiques du pays par sa grosseur, et la taille extraordinaire de ses défenses.
«Quand les braconniers l’ont blessé, il était devenu très farouche. Il menaçait la sécurité des usagers du campement. Nous avons donc requis l’autorisation de notre hiérarchie pour l’achever», raconte le chef d’unité de gestion du ranch de Nazinga.
Il indique que 30 pisteurs et 7 forestiers surveillent aujourd’hui le ranch en y patrouillant, sans pour autant parvenir à endiguer le fléau. Selon lui, seule une meilleure collaboration avec les populations et les agents forestiers pourrait mettre fin au braconnage.
L’éléphant d’Afrique est l’animal terrestre le plus grand au monde. C’est une espèce ayant une valeur économique, écologique, culturelle et esthétique considérable pour beaucoup de gens, rappelle le quotidien.
L’ampleur de cette menace pour certaines populations d’éléphants est tellement grave que certains prédisent sa probable extinction, conclut le site.
Lu sur Sidwaya
Depuis le début de l’année, cinq éléphants auraient déjà été abattus pour leurs défenses, rapporte l’homme au quotidien.
Les blessures constatées sur les animaux, commises par des armes et munitions coûteuses et sophistiquées, tendent à prouver que les braconniers sont organisés en réseaux, explique-t-il.
Le dernier éléphant victime des braconniers était l’un des plus emblématiques du pays par sa grosseur, et la taille extraordinaire de ses défenses.
«Quand les braconniers l’ont blessé, il était devenu très farouche. Il menaçait la sécurité des usagers du campement. Nous avons donc requis l’autorisation de notre hiérarchie pour l’achever», raconte le chef d’unité de gestion du ranch de Nazinga.
Il indique que 30 pisteurs et 7 forestiers surveillent aujourd’hui le ranch en y patrouillant, sans pour autant parvenir à endiguer le fléau. Selon lui, seule une meilleure collaboration avec les populations et les agents forestiers pourrait mettre fin au braconnage.
L’éléphant d’Afrique est l’animal terrestre le plus grand au monde. C’est une espèce ayant une valeur économique, écologique, culturelle et esthétique considérable pour beaucoup de gens, rappelle le quotidien.
L’ampleur de cette menace pour certaines populations d’éléphants est tellement grave que certains prédisent sa probable extinction, conclut le site.
Lu sur Sidwaya