Les funérailles nationales du président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira ont débuté mardi au siège de l'Assemblée nationale populaire, huit jours après son assassinat, a constaté une journaliste de l'AFP.
Le général Vieira, au pouvoir durant 23 ans (1980-1999 et 2005-2009), avait été sauvagement battu et tué par balles par des militaires, dans la nuit du 1er au 2 mars, quelques heures après la mort du chef d'état-major des armées, le général Batista Tagmé Na Waié, dans un attentat à la bombe.
La cérémonie a débuté par un défilé de nombreux soldats venus faire un salut militaire devant le cercueil couvert du drapeau national dans l'hémicycle, en présence des différentes autorités politiques, religieuses et judiciaires.
Un grand nombre de soldats étaient également déployés au siège de l'Assemblée nationale et alentours.
Etaient notamment attendus pour ces obsèques le président sénégalais Abdoulaye Wade, le Premier ministre guinéen Kabiné Komara (nommé en décembre par la junte) ou encore le secrétaire d'Etat portugais aux Affaires étrangères Joao Gomes Cravinho.
Un discours devait être prononcé par le président par intérim, Raimundo Pereira, avant l'enterrement dans le cimetière municipal, catholique, où le général Na Waié a été inhumé dimanche.
La cérémonie a débuté par un défilé de nombreux soldats venus faire un salut militaire devant le cercueil couvert du drapeau national dans l'hémicycle, en présence des différentes autorités politiques, religieuses et judiciaires.
Un grand nombre de soldats étaient également déployés au siège de l'Assemblée nationale et alentours.
Etaient notamment attendus pour ces obsèques le président sénégalais Abdoulaye Wade, le Premier ministre guinéen Kabiné Komara (nommé en décembre par la junte) ou encore le secrétaire d'Etat portugais aux Affaires étrangères Joao Gomes Cravinho.
Un discours devait être prononcé par le président par intérim, Raimundo Pereira, avant l'enterrement dans le cimetière municipal, catholique, où le général Na Waié a été inhumé dimanche.