‘’Je ne pense pas qu’on puisse dire que Jules Bocandé a été abandonné, Jules lui-même ne se considérait pas comme un nécessiteux’’, a déclaré le ministre des Sports, répondant à la question de savoir si l’ancien capitaine des Lions du Sénégal n’a pas été abandonné par son pays.
M. Gackou, qui était l’invité de l’émission Grand Jury de la radio privée RFM, dimanche, a dit qu’avec son tempérament, Bocandé a été toujours fait des choix qu’il a assumés.
’’Avec son tempérament, il a été choisi une voie pour sa vie et il a assumé’’, a ajouté le ministre qui a été longtemps vice-président de la Fédération sénégalaise de football (FSF).
Ancien entraîneur national de 1993 à 1994 à la fin de sa carrière de joueur, Jules Bocandé avait été en retrait de la sélection jusqu’en 2001 avec l’avènement d’El Hadj Malick Souris à la présidence de la FSF.
Celui-ci l’a rappelé comme coordonnateur de la sélection de 2001 à 2004 avant de quitter la sélection à cause des différences d’approche avec l’ancien sélectionneur des Lions Guy Stéphan.
Jules Bocandé a repris sa place en 2006 avec la nomination d’Henri Kasperczak avant de disparaître avec l’élimination des Lions de la CAN 2010. Entre temps, Lamine Ndiaye avait pris le relais de Kasperczak, à la suite de l’élimination du Sénégal dès le premier tour de la CAN 2008.
Ne voulant pas se prononcer sur les relations entre Bocandé et l’ancien pouvoir libéral, M. Gackou a rappelé toutefois au sujet de l’ancien capitaine des Lions qu’il s’est toujours battu pour garder sa liberté.
‘’Il s’est toujours pris comme un homme libre capable de se battre dans sa vie’’, a-t-il ajouté, précisant avoir entretenu des relations amicales avec l’illustre disparu.
Au sujet du transfert de la dépouille mortelle et de l’organisation des funérailles, il a réitéré la position de l’Etat du Sénégal qui va traiter Jules Bocandé comme ’’un héros national et lui rendre l’hommage qu’il mérite’’, en accord avec sa famille, la FSF, le Casa Sports et les anciens internationaux.
APS
M. Gackou, qui était l’invité de l’émission Grand Jury de la radio privée RFM, dimanche, a dit qu’avec son tempérament, Bocandé a été toujours fait des choix qu’il a assumés.
’’Avec son tempérament, il a été choisi une voie pour sa vie et il a assumé’’, a ajouté le ministre qui a été longtemps vice-président de la Fédération sénégalaise de football (FSF).
Ancien entraîneur national de 1993 à 1994 à la fin de sa carrière de joueur, Jules Bocandé avait été en retrait de la sélection jusqu’en 2001 avec l’avènement d’El Hadj Malick Souris à la présidence de la FSF.
Celui-ci l’a rappelé comme coordonnateur de la sélection de 2001 à 2004 avant de quitter la sélection à cause des différences d’approche avec l’ancien sélectionneur des Lions Guy Stéphan.
Jules Bocandé a repris sa place en 2006 avec la nomination d’Henri Kasperczak avant de disparaître avec l’élimination des Lions de la CAN 2010. Entre temps, Lamine Ndiaye avait pris le relais de Kasperczak, à la suite de l’élimination du Sénégal dès le premier tour de la CAN 2008.
Ne voulant pas se prononcer sur les relations entre Bocandé et l’ancien pouvoir libéral, M. Gackou a rappelé toutefois au sujet de l’ancien capitaine des Lions qu’il s’est toujours battu pour garder sa liberté.
‘’Il s’est toujours pris comme un homme libre capable de se battre dans sa vie’’, a-t-il ajouté, précisant avoir entretenu des relations amicales avec l’illustre disparu.
Au sujet du transfert de la dépouille mortelle et de l’organisation des funérailles, il a réitéré la position de l’Etat du Sénégal qui va traiter Jules Bocandé comme ’’un héros national et lui rendre l’hommage qu’il mérite’’, en accord avec sa famille, la FSF, le Casa Sports et les anciens internationaux.
APS