Dans la vidéo, Omolola raconte qu’elle avait quitté son pays sous la promesse qu’elle travaillerait comme enseignante au Liban. Cependant, à sa grande surprise, elle a découvert qu’elle avait été vendue comme esclave.
Maltraitée par son maître, elle avait lancé un appel à l’aide expliquant qu’elle est entre la vie et la mort. Heureusement pour elle, son cauchemar a pris fin.
La Commission des Nigérians de la Diaspora (NIDCOM) qui a confirmé le sauvetage d’Ajayi de la maison de son « bourreau » a révélé qu’elle est maintenant à Beyrouth avec l’ambassadeur du Nigeria au Liban.
«Nouvelle information sur la nigériane vendue comme esclave au Liban. Elle est désormais entre les mains de l’ambassadeur nigérian à Beyrouth. Elle rentrera bientôt à la maison », a déclaré Abdul Rahman Balogun, porte-parole de la NIDCOM.
Dans un tweet, Abike Dabiri-Erewa, la présidente de la NIDCOM a également annoncé la bonne nouvelle.
«Le trafiquant présumé a été arrêté et sera remis à l’Agence nationale nigériane pour l’interdiction de la traite des personnes (NAPTIP). La famille de la dame a été retrouvée et le gouvernement de Kwara travaille sur l’affaire est personnellement sur l’affaire. Nous travaillons tous pour assurer son retour au pays.»
Maltraitée par son maître, elle avait lancé un appel à l’aide expliquant qu’elle est entre la vie et la mort. Heureusement pour elle, son cauchemar a pris fin.
La Commission des Nigérians de la Diaspora (NIDCOM) qui a confirmé le sauvetage d’Ajayi de la maison de son « bourreau » a révélé qu’elle est maintenant à Beyrouth avec l’ambassadeur du Nigeria au Liban.
«Nouvelle information sur la nigériane vendue comme esclave au Liban. Elle est désormais entre les mains de l’ambassadeur nigérian à Beyrouth. Elle rentrera bientôt à la maison », a déclaré Abdul Rahman Balogun, porte-parole de la NIDCOM.
Dans un tweet, Abike Dabiri-Erewa, la présidente de la NIDCOM a également annoncé la bonne nouvelle.
«Le trafiquant présumé a été arrêté et sera remis à l’Agence nationale nigériane pour l’interdiction de la traite des personnes (NAPTIP). La famille de la dame a été retrouvée et le gouvernement de Kwara travaille sur l’affaire est personnellement sur l’affaire. Nous travaillons tous pour assurer son retour au pays.»