Le Produit intérieur brut (PIB) a connu une progression de 2,1% au premier trimestre de l’année 2014. C’est ce qui ressort de la dernière publication de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD). Cette performance réalisée, informe le document de l’ANSD “est en “deceleration” par rapport au trimestre précèdent où elle était à 3,2%”.
Cette évolution du PIB, soutient-il, est “ favorisée par un accroissement des activités dans les secteurs primaire, secondaire et tertiaire. Pour le premier secteur cité, il a connu un accroissement de 3,1% par rapport au dernier trimestre de l’année précédente.
Cette bonne progression, relate le document de l’ANSD, s’explique par le “dynamisme des sous-secteurs de l’agriculture (+7,5%) et de l’élevage (+4,1%). La note souligne aussi que les performances du secteur (primaire) ont été atténuées par la baisse de la valeur ajoutée de la pêche (3,6%) et des industries extractives (12,3%) en relation avec les baisses, par rapport au trimestre correspondant de 2013.
Quant au secondaire, ses “activités sont portées en hausse de 4,9% par rapport au premier trimestre de 2013”. Cette performance ajoute, l’ANSD est “tirée par les activités des sous secteurs des bâtiments et travaux publics (+13,7%), des industries chimiques (+7,4%), des autres industries (+3,6%) et de l’énergie (+2,0%)”.
Par contre, au cours de ce semestre, un “recul de la production des produits laitiers, des condiments et assaisonnements et des corps gras alimentaires” a été noté. Ce qui a favorisé la “baisse de la valeur ajoutée des industries alimentaires”. Le secteur tertiaire a connu le taux de progression le plus faible, avec 1,6%. Cette hausse, justifie l’ANSD, “a été sensiblement amoindrie par la baisse de la valeur ajoutée du commerce (-1,5%) et du transport (7,4%”).
Hausse de 0,1% des prix à la consommation
Par ailleurs au moment où le PIB connait une hausse de 2,1% l’indice harmonisé des prix à la consommation au mois de juin 2014 n’a progressé que de 0,1% par rapport au trimestre précédent. Cela est dû, selon la note de l’ANSD, à “l’augmentation des prix des produits alimentaires et des boissons non alcoolisées”.
Ces derniers ont augmente de 0,3%, en liaison principalement avec la “hausse de ceux des légumes frais en feuilles (+6,4%), des farines, des semoules et des gruaux (+6,1%), des poissons frais (+4,6%), ainsi que des légumes frais en fruits ou racines (+4,4%)”.
Par contre, les prix des meubles, des articles de ménage et d’entretien courant du foyer, des services de transport, des services d’enseignement, ainsi que des biens et des services divers sont restés inchangés au mois de juin 2014, ajoute le document. La même tendance a été notée pour les prix des articles d’habillement et des chaussures, des services de restaurants et hôtels, des services du logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles, ainsi que ceux de la communication.
EnQuête
Cette évolution du PIB, soutient-il, est “ favorisée par un accroissement des activités dans les secteurs primaire, secondaire et tertiaire. Pour le premier secteur cité, il a connu un accroissement de 3,1% par rapport au dernier trimestre de l’année précédente.
Cette bonne progression, relate le document de l’ANSD, s’explique par le “dynamisme des sous-secteurs de l’agriculture (+7,5%) et de l’élevage (+4,1%). La note souligne aussi que les performances du secteur (primaire) ont été atténuées par la baisse de la valeur ajoutée de la pêche (3,6%) et des industries extractives (12,3%) en relation avec les baisses, par rapport au trimestre correspondant de 2013.
Quant au secondaire, ses “activités sont portées en hausse de 4,9% par rapport au premier trimestre de 2013”. Cette performance ajoute, l’ANSD est “tirée par les activités des sous secteurs des bâtiments et travaux publics (+13,7%), des industries chimiques (+7,4%), des autres industries (+3,6%) et de l’énergie (+2,0%)”.
Par contre, au cours de ce semestre, un “recul de la production des produits laitiers, des condiments et assaisonnements et des corps gras alimentaires” a été noté. Ce qui a favorisé la “baisse de la valeur ajoutée des industries alimentaires”. Le secteur tertiaire a connu le taux de progression le plus faible, avec 1,6%. Cette hausse, justifie l’ANSD, “a été sensiblement amoindrie par la baisse de la valeur ajoutée du commerce (-1,5%) et du transport (7,4%”).
Hausse de 0,1% des prix à la consommation
Par ailleurs au moment où le PIB connait une hausse de 2,1% l’indice harmonisé des prix à la consommation au mois de juin 2014 n’a progressé que de 0,1% par rapport au trimestre précédent. Cela est dû, selon la note de l’ANSD, à “l’augmentation des prix des produits alimentaires et des boissons non alcoolisées”.
Ces derniers ont augmente de 0,3%, en liaison principalement avec la “hausse de ceux des légumes frais en feuilles (+6,4%), des farines, des semoules et des gruaux (+6,1%), des poissons frais (+4,6%), ainsi que des légumes frais en fruits ou racines (+4,4%)”.
Par contre, les prix des meubles, des articles de ménage et d’entretien courant du foyer, des services de transport, des services d’enseignement, ainsi que des biens et des services divers sont restés inchangés au mois de juin 2014, ajoute le document. La même tendance a été notée pour les prix des articles d’habillement et des chaussures, des services de restaurants et hôtels, des services du logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles, ainsi que ceux de la communication.
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