"La coopération dans le domaine de la défense antimissile peut transformer nos relations et garantir la sécurité pour nous tous, parce que nous avons des menaces communes", a ajouté le secrétaire général.L'OTAN a réalisé des avancées dans le déploiement de son bouclier antimissile, dont la capacité "intérimaire" sera annoncée par l'OTAN lors du prochain sommet de Chicago, en mai. Ce bouclier ne vise pas la Russie et ne rompt pas l'équilibre des forces de dissuasion nucléaire, selon M.Rasmussen.
La Russie et l'OTAN ont décidé de coopérer sur la création d'un système de défense antimissile en Europe lors du sommet à Lisbonne en novembre 2010. Le partenariat est toutefois resté lettre morte, Washington refusant de signer un document contraignant garantissant que le futur bouclier ne menacerait pas le potentiel nucléaire russe. L'OTAN invite la Russie à la croire sur parole. La Russie estime que les parties doivent élaborer l'architecture du bouclier sur un pied d'égalité et prendre des mesures de confiance dans le domaine de la défense antimissile.
La Russie et l'OTAN ont décidé de coopérer sur la création d'un système de défense antimissile en Europe lors du sommet à Lisbonne en novembre 2010. Le partenariat est toutefois resté lettre morte, Washington refusant de signer un document contraignant garantissant que le futur bouclier ne menacerait pas le potentiel nucléaire russe. L'OTAN invite la Russie à la croire sur parole. La Russie estime que les parties doivent élaborer l'architecture du bouclier sur un pied d'égalité et prendre des mesures de confiance dans le domaine de la défense antimissile.