« Je fais partie de ses entraînements », lâche Mme Sakho dans L’Observateur repris par Leral. Et de préciser :« Je lui préparais des bons plats et lui donnais à bien manger. Toutes les recommandations sont acceptées avant même qu’il ne termine ses phrases. Il ne manquait de rien. Un homme a besoin qu’on dise des mots doux quand il est chez lui qu’on prenne soins de lui et qu’il ait tout ce dont il a besoin. Il était rarement à la maison à cause de ses entraînements. Souvent, j’étais endormie quand il rentrait très tard le soir». Avant de révéler: « Le jour du combat je lui ai préparé comme on préparait le Prophète (PSL) quand il allait en guerre ».