En effet, ces jeunes fustigent l'attitude des autorités dans la redistribution des terres qui selon eux, sont les leurs et celles de leurs ancêtres Pour EL Hadji Abdoulaye Samb, un jeune du village, un tel confinement est inacceptable:" On a plus ou habiter; et si on dit les pieds dans l'eau, je croient que les Lébous devraient être les mieux placés pour en parler mais tel n'est pas le cas." "Ils ont quitté les terres de leurs ancêtres et veulent s'accaparer des nôtres. s'ils veulent nous faire sortir des terres nous ne l'accepterons pas. Depuis, nous avons eu des démarches avec l'autorités mais jusque là nous n'avons rien entendu." a déploré ce dernier.
Et la représentantes des femmes Adja Yaye Katy de tirer dans la même direction:" on nous a acculé au point que nous ne pouvons plus respirer , ce par la force. Il risquent maintenant de nous faire déguerpir et s'installer sur nos terres ."
Tour à tour, les différents acteurs sociaux se sont relayés au micro sous l'approbation de leurs dignitaires pour récuser la maniéré dont la distribution de leurs terres est faite, notamment sur le site de l'aéroport . Il ont exhorté à l'unité pour le règlement de ces problèmes.
Et la représentantes des femmes Adja Yaye Katy de tirer dans la même direction:" on nous a acculé au point que nous ne pouvons plus respirer , ce par la force. Il risquent maintenant de nous faire déguerpir et s'installer sur nos terres ."
Tour à tour, les différents acteurs sociaux se sont relayés au micro sous l'approbation de leurs dignitaires pour récuser la maniéré dont la distribution de leurs terres est faite, notamment sur le site de l'aéroport . Il ont exhorté à l'unité pour le règlement de ces problèmes.