L’Union des syndicats des contrôleurs aériens de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (USYCAA), n’entend pas renoncer à sa plateforme revendicative. Hier, face à la presse, le secrétaire général de l’USYCAA, Paul François Gomis, a invité le ministre des Transports aériens et du Développement des Infrastructures aéroportuaires, Doudou Kâ, à trouver d’urgence une solution à leur plateforme revendicative, rapporte "Sud Quotidien".
Dans sa déclaration il dira : «Nous demandons aux ministres, les seuls capables aujourd’hui de trouver une solution, face au manque de volonté affiché par le Directeur général, à être vigilants à la manipulation et la campagne de diabolisation à notre égard en cours, afin de trouver d’urgence une solution heureuse par rapport à notre plateforme revendicative».
Face à la presse, M. Gomis a fait le point sur l’état d’avancement de leurs négociations depuis leur grève amorcée le 23 septembre dernier, qui tournait autour de l’amélioration de leurs conditions de travail et de meilleurs plans de carrière. Cette grève qui avait paralysé «12 aéroports de l’espace», a rappelé M. Gomis, appelant à «être pris au sérieux par les autorités».
A la demande des autorités, «nous avons suspendu le mot d’ordre, sur demande de notre ministre de tutelle, le temps qu’il s’imprègne du dossier. Ce que nous avons accepté puisqu’une réunion est prévue le 17 octobre prochain à Dakar», a-t-il fait savoir.
Déplorant les menaces de suspension et même d’affectation de certains d’entre eux, M. Gomis dit ceci : «Pendant que les contrôleurs sont restés à attendre sagement cette réunion, le Directeur général de l’Asecna est dans une logique de menacer, de suspendre et même d’affecter certains des camarades grévistes».
Pour convaincre, il argumentera : «Il y a des suspensions qui ne sont pas encore levées, les camarades ne sont pas sur les tableaux de service, ils ne travaillent pas et, nous connaissons leurs intentions derrière tout cela».
Paul François Gomis de développer : «Les contrôleurs aériens qui assuraient le service minimum le jour de la grève, ont été chassés des tours de contrôle et des salles de contrôle. En lieu et place, les autorités ’’ont mis des militaires, des retraités et des gens qui ne connaissent pas le contrôle aérien, créant ainsi plusieurs incidents».
Il a prévenu que si une solution n’est pas trouvée à l’issue de cette réunion de Dakar, les 730 contrôleurs réunis autour de l’USYCAA, vont se concerter à nouveau pour voir quelle suite donner à leur préavis à de grève.
Dans sa déclaration il dira : «Nous demandons aux ministres, les seuls capables aujourd’hui de trouver une solution, face au manque de volonté affiché par le Directeur général, à être vigilants à la manipulation et la campagne de diabolisation à notre égard en cours, afin de trouver d’urgence une solution heureuse par rapport à notre plateforme revendicative».
Face à la presse, M. Gomis a fait le point sur l’état d’avancement de leurs négociations depuis leur grève amorcée le 23 septembre dernier, qui tournait autour de l’amélioration de leurs conditions de travail et de meilleurs plans de carrière. Cette grève qui avait paralysé «12 aéroports de l’espace», a rappelé M. Gomis, appelant à «être pris au sérieux par les autorités».
A la demande des autorités, «nous avons suspendu le mot d’ordre, sur demande de notre ministre de tutelle, le temps qu’il s’imprègne du dossier. Ce que nous avons accepté puisqu’une réunion est prévue le 17 octobre prochain à Dakar», a-t-il fait savoir.
Déplorant les menaces de suspension et même d’affectation de certains d’entre eux, M. Gomis dit ceci : «Pendant que les contrôleurs sont restés à attendre sagement cette réunion, le Directeur général de l’Asecna est dans une logique de menacer, de suspendre et même d’affecter certains des camarades grévistes».
Pour convaincre, il argumentera : «Il y a des suspensions qui ne sont pas encore levées, les camarades ne sont pas sur les tableaux de service, ils ne travaillent pas et, nous connaissons leurs intentions derrière tout cela».
Paul François Gomis de développer : «Les contrôleurs aériens qui assuraient le service minimum le jour de la grève, ont été chassés des tours de contrôle et des salles de contrôle. En lieu et place, les autorités ’’ont mis des militaires, des retraités et des gens qui ne connaissent pas le contrôle aérien, créant ainsi plusieurs incidents».
Il a prévenu que si une solution n’est pas trouvée à l’issue de cette réunion de Dakar, les 730 contrôleurs réunis autour de l’USYCAA, vont se concerter à nouveau pour voir quelle suite donner à leur préavis à de grève.