Dans un communiqué conjoint parvenu à la Rédaction de Actusen.sn, les signataires Sadikh Niass, Alassane Seck et Seydi Gassama, disent «constater avec regret et inquiétude, l’exacerbation de la crise dans le secteur judiciaire malgré les différents appels à l’ouverture de négociations réelles entre le Gouvernement et le Syndicat des travailleurs de la justice».
Les droits-de-l’hommiste d’ajouter dans le document, que « nos organisations sont d’autant plus préoccupées que le Gouvernement du Sénégal semble s’inscrire dans une dynamique de pourrissement et une stratégie de substitution du personnel des greffiers par un personnel militaire et paramilitaire formé sur le tas, en violation des principes gouvernant les statuts des juridictions de droit commun ».
Selon eux, « l’enlisement de la crise avec comme corollaire, la panoplie de pseudo solutions irréalistes mises en œuvre, ne saurait perdurer sans entraîner une dislocation irrémédiable de la chaîne judiciaire dont le greffe constitue le socle pyramidal ».
Toutefois, ils invitent de nouveau le Gouvernement à « renouer sans délai, le fil du dialogue avec les travailleurs de la justice, afin qu’une solution heureuse puisse être trouvée dans le respect des acquis déjà actés et des concessions auxquelles ces derniers ne manqueront pas de consentir».
Actusen.sn
Les droits-de-l’hommiste d’ajouter dans le document, que « nos organisations sont d’autant plus préoccupées que le Gouvernement du Sénégal semble s’inscrire dans une dynamique de pourrissement et une stratégie de substitution du personnel des greffiers par un personnel militaire et paramilitaire formé sur le tas, en violation des principes gouvernant les statuts des juridictions de droit commun ».
Selon eux, « l’enlisement de la crise avec comme corollaire, la panoplie de pseudo solutions irréalistes mises en œuvre, ne saurait perdurer sans entraîner une dislocation irrémédiable de la chaîne judiciaire dont le greffe constitue le socle pyramidal ».
Toutefois, ils invitent de nouveau le Gouvernement à « renouer sans délai, le fil du dialogue avec les travailleurs de la justice, afin qu’une solution heureuse puisse être trouvée dans le respect des acquis déjà actés et des concessions auxquelles ces derniers ne manqueront pas de consentir».
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