À Hollywood plus qu'ailleurs, le silence est d'or. Car si les coulisses des studios sont loin d'être aussi clinquantes que les stars de cinéma, presque personne ne se risque à crier haut et fort le fond de sa pensée dans un microcosme où quelques élus sont capables de griller une réputation et briser une carrière.
La bombe Megan Fox en est le plus bel exemple. Il y a quelques années, elle n'hésitait pas à décrire le réalisateur Michael Bay de manière peu élogieuse : "Il veut être Hitler sur le tournage, et il l'est. Alors c'est un cauchemar de travailler avec lui, mais hors plateau, je l'apprécie assez." Alors que ses propos faisaient le tour du monde, plus personne ne s'étonnait de la voir absente du troisième épisode de Transformers, remplacée par Rosie Huntington-Whiteley. Entre-temps, Michael Bay expliquait que Steven Spielberg, producteur du film, lui avait clairement dit qu'il fallait virer l'actrice.
Depuis, Megan Fox s'est frayé un chemin dans la comédie et s'est fait quelques amis, dont Chris O'Dowd, son partenaire dans This is 40 de Judd Apatow. Interrogé sur cette querelle, l'acteur de Mes meilleures amies a déclaré : "Je ne connais pas les tenants et aboutissants de l'histoire mais tout se résume à une dispute avec Michael Bay. Mais qui ne pourrait pas en avoir une avec lui ? C'est un des êtres les plus sexistes que j'ai jamais vus. Elle l'a traité de trou du c**. Eh bien, c'est un trou du c**. Elle n'est pas la seule à l'avoir dit. Pourquoi elle plus qu'une autre ?" Visiblement remonté, Chris O'Dowd continue : "Je ne regarderai jamais ses films, et n'y jouerai encore moins."
À côté de ce réalisateur de destruction massive auréolé de succès planétaires, une autre superstar hollywoodienne est vivement critiquée, cette fois-ci par un réalisateur. Venu du cinéma indépendant voire underground, Kevin Smith (Clerks) a réalisé son premier film de studio avec Top Cops, un buddy movie avec Bruce Willis en policier.
Pourtant fan de l'acteur depuis des années, Kevin Smith n'a jamais caché sa rancoeur. L'année dernière, il expliquait que le comédien était impossible à diriger : "Je lui disais 'Bruce, fais comme ça', comme pour les autres acteurs. Et il me répondait 'Je joue comme Bruce Willis depuis vingt-cinq ans, tu penses vraiment me dire quelque chose que je ne sais pas ?' C'est vraiment ce qu'on appelle une put*** de star de cinéma. Il peut jouer, mais c'est une star, et l'une des dernières. Cette espèce n'existe plus vraiment."
Au cas où les choses n'auraient pas été pas assez claires, Kevin Smith est revenu sur le sujet, probablement marqué par cette expérience douloureuse - et soucieux de faire parler de son livre Tough S**t: Life Advice from a Fat, Lazy Slob Who Did Good. Sur Tweeter, il a ainsi lancé une devinette : "De qui je parle quand j'écris ceci : 'Il s'est révélé être la caricature la plus malheureuse, la plus amère et méchante que j'ai rencontrée dans le monde du travail. Et j'ai travaillé chez Domino's Pizza." La réponse était évidemment Bruce Willis.
Avec un tel excès de sincérité, Chris O'Dowd et Kevin Smith vont certainement s'attirer la sympathie de beaucoup de cinéphiles, avides de révélations croustillantes. Au passage, ils se seront probablement fermé quelques portes hollywoodiennes, réservées à ceux qui veulent jouer le jeu de la consensualité.
SOURCE:purepeople.com
La bombe Megan Fox en est le plus bel exemple. Il y a quelques années, elle n'hésitait pas à décrire le réalisateur Michael Bay de manière peu élogieuse : "Il veut être Hitler sur le tournage, et il l'est. Alors c'est un cauchemar de travailler avec lui, mais hors plateau, je l'apprécie assez." Alors que ses propos faisaient le tour du monde, plus personne ne s'étonnait de la voir absente du troisième épisode de Transformers, remplacée par Rosie Huntington-Whiteley. Entre-temps, Michael Bay expliquait que Steven Spielberg, producteur du film, lui avait clairement dit qu'il fallait virer l'actrice.
Depuis, Megan Fox s'est frayé un chemin dans la comédie et s'est fait quelques amis, dont Chris O'Dowd, son partenaire dans This is 40 de Judd Apatow. Interrogé sur cette querelle, l'acteur de Mes meilleures amies a déclaré : "Je ne connais pas les tenants et aboutissants de l'histoire mais tout se résume à une dispute avec Michael Bay. Mais qui ne pourrait pas en avoir une avec lui ? C'est un des êtres les plus sexistes que j'ai jamais vus. Elle l'a traité de trou du c**. Eh bien, c'est un trou du c**. Elle n'est pas la seule à l'avoir dit. Pourquoi elle plus qu'une autre ?" Visiblement remonté, Chris O'Dowd continue : "Je ne regarderai jamais ses films, et n'y jouerai encore moins."
À côté de ce réalisateur de destruction massive auréolé de succès planétaires, une autre superstar hollywoodienne est vivement critiquée, cette fois-ci par un réalisateur. Venu du cinéma indépendant voire underground, Kevin Smith (Clerks) a réalisé son premier film de studio avec Top Cops, un buddy movie avec Bruce Willis en policier.
Pourtant fan de l'acteur depuis des années, Kevin Smith n'a jamais caché sa rancoeur. L'année dernière, il expliquait que le comédien était impossible à diriger : "Je lui disais 'Bruce, fais comme ça', comme pour les autres acteurs. Et il me répondait 'Je joue comme Bruce Willis depuis vingt-cinq ans, tu penses vraiment me dire quelque chose que je ne sais pas ?' C'est vraiment ce qu'on appelle une put*** de star de cinéma. Il peut jouer, mais c'est une star, et l'une des dernières. Cette espèce n'existe plus vraiment."
Au cas où les choses n'auraient pas été pas assez claires, Kevin Smith est revenu sur le sujet, probablement marqué par cette expérience douloureuse - et soucieux de faire parler de son livre Tough S**t: Life Advice from a Fat, Lazy Slob Who Did Good. Sur Tweeter, il a ainsi lancé une devinette : "De qui je parle quand j'écris ceci : 'Il s'est révélé être la caricature la plus malheureuse, la plus amère et méchante que j'ai rencontrée dans le monde du travail. Et j'ai travaillé chez Domino's Pizza." La réponse était évidemment Bruce Willis.
Avec un tel excès de sincérité, Chris O'Dowd et Kevin Smith vont certainement s'attirer la sympathie de beaucoup de cinéphiles, avides de révélations croustillantes. Au passage, ils se seront probablement fermé quelques portes hollywoodiennes, réservées à ceux qui veulent jouer le jeu de la consensualité.
SOURCE:purepeople.com