Taxés de mercenaires par les entraîneurs africains, Pierre Lechantre n’a rien fait pour redorer le blason des entraîneurs français sur le vieux continent, si l’on se fie aux propos de Bruno Metsu. «Lechantre ne donne pas une bonne image des entraîneurs français, qui passent pour des mercenaires», a-t-il déploré. Analysant la désillusion des férus sénégalais du ballon rond, le coach finaliste de la Can 2002 avec les «Lions» compatit avant de soutenir qu’il était informé, par des membres de la Fédération qatari de football, que Lechantre voulait rester au Qatar. «Il voulait renégocier son contrat pour conserver des avantages importants. Il n’a pas été honnête, il a joué sur les deux tableaux. Quand tu es un homme, tu respectes ta parole. Quel manque de classe ! » a-t-il martelé. Et de dénoncer :
Selon Bruno Metsu, le choix de Lechantre est une volonté du président de la Fédération sénégalaise de football (Fsf), Me Augustin Senghor. Il s’était engagé avec lui depuis longtemps. Faisant un clin d’œil à la tanière, Metsu se défend : «J’ai une dette envers le Sénégal. Ce n’est pas l’argent qui a dicté ma conduite. Les Lions Indomptables ont continué à bien se comporter après sa venue. Alors qu’après mon passage au Sénégal (finaliste CAN 2002, quart de finaliste Mondial 2002), les Lions du Sénégal n’ont rien fait !». Cependant, il n’est pas question, pour lui, d’être «un choix par défaut» car, pense-t-il, tous les Sénégalais souhaitaient son retour.
T.A.B lesenegalais.net
Selon Bruno Metsu, le choix de Lechantre est une volonté du président de la Fédération sénégalaise de football (Fsf), Me Augustin Senghor. Il s’était engagé avec lui depuis longtemps. Faisant un clin d’œil à la tanière, Metsu se défend : «J’ai une dette envers le Sénégal. Ce n’est pas l’argent qui a dicté ma conduite. Les Lions Indomptables ont continué à bien se comporter après sa venue. Alors qu’après mon passage au Sénégal (finaliste CAN 2002, quart de finaliste Mondial 2002), les Lions du Sénégal n’ont rien fait !». Cependant, il n’est pas question, pour lui, d’être «un choix par défaut» car, pense-t-il, tous les Sénégalais souhaitaient son retour.
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