Ce 6 septembre, Kadré Desiré Ouedraogo a été accueilli en fanfare et investi comme candidat pour la présidentielle de novembre prochain. On a assisté à la remise de l’attestation d’investiture et du drapeau national par des jeunes venus des treize régions du pays. Selon Boubacar Diallo, président du mouvement « Agir ensemble », plusieurs raisons expliquent ce choix. « Les trois mouvements associatifs avaient déjà identifié que Kadré Desiré Ouedraogo était la personne la mieux placée pour conduire la destinée de notre pays », déclare-t-il.
Tout en acceptant cette investiture comme candidat pour la présidentielle, Kadré Désiré Ouédraogo dit reconnaitre la lourdeur de la responsabilité pour redresser et sauver le Burkina Faso. « J’accepte aussi cette investiture parce que nous sommes tous témoins, malheureusement, des résultats calamiteux enregistrés par ntore pays sur les plans de la sécurité, de la stabilité et du vivre-ensemble, a-t-il déclaré. Oui, le Burkina Faso est aujourd’hui méconnaissable, l’insécurité galopante, la haine vivace dans certains esprits, la corruption galopante prennent notre vivre-ensemble en otage. »
Celui qui se présente déjà comme le « futur capitaine du navire Burkina Faso », appelle au rassemblement pour sortir « le pays de l’obscurité dans laquelle il est plongé ». Les élections présidentielles et législatives sont prévues pour le 22 novembre prochain et une dizaine de candidats sont déjà déclarés.
Tout en acceptant cette investiture comme candidat pour la présidentielle, Kadré Désiré Ouédraogo dit reconnaitre la lourdeur de la responsabilité pour redresser et sauver le Burkina Faso. « J’accepte aussi cette investiture parce que nous sommes tous témoins, malheureusement, des résultats calamiteux enregistrés par ntore pays sur les plans de la sécurité, de la stabilité et du vivre-ensemble, a-t-il déclaré. Oui, le Burkina Faso est aujourd’hui méconnaissable, l’insécurité galopante, la haine vivace dans certains esprits, la corruption galopante prennent notre vivre-ensemble en otage. »
Celui qui se présente déjà comme le « futur capitaine du navire Burkina Faso », appelle au rassemblement pour sortir « le pays de l’obscurité dans laquelle il est plongé ». Les élections présidentielles et législatives sont prévues pour le 22 novembre prochain et une dizaine de candidats sont déjà déclarés.