L’indice harmonisé des prix à la consommation (IHPC) du mois de mars 2024 se situe à 125,2 soit une hausse de 0,5% par rapport à février 2024, a indiqué l'Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSD) dans son Indice Harmonisé des Prix à la Consommation (IHPC).
Source : https://www.lejecos.com/Burkina-Les-prix-a-la-cons...
En glissement annuel, l’indice indique une hausse de 2,6%. « En mars 2023, note l’INSD, l’indice harmonisé des prix à la consommation affichait respectivement une hausse de 0,6% en variation mensuelle et une hausse de 2,9% en glissement annuel. »
Selon cette structure, la hausse du niveau général des prix à la consommation en mars 2024 est attribuable à l'augmentation des prix dans plusieurs fonctions, notamment les Produits alimentaires et les boissons non alcoolisées, les Boissons alcoolisées, tabac et stupéfiants, la Santé, ainsi que les Restaurants et hôtels.
Cependant, cette hausse est atténuée par la baisse des prix dans les fonctions Logement, eau, gaz, électricité et des autres combustibles et Loisirs et culture.
En ce qui concerne l'évolution des prix des Produits alimentaires et boissons non alcoolisées, elle est principalement attribuable à l'augmentation des prix des céréales, des légumes secs et oléagineux, ainsi que du sel, des épices et des sauces. Cette hausse est en partie freinée par la baisse des prix des farines et des légumes frais.
Dans la fonction des Boissons alcoolisées, du tabac et des stupéfiants, la hausse des prix est influencée par l'augmentation des prix de la noix de cola, du tabac local à chiquer et du dolo. Quant à l'augmentation des prix dans la fonction Santé, l’INSD indique qu’elle est attribuable à l'augmentation des frais de consultation chez les pédiatres.
Concernant la hausse des prix dans la fonction Restaurants et hôtels, elle est principalement causée par l'augmentation des prix des sandwiches vendus dans les kiosques et du porc au four. « La baisse des prix des combustibles solides a contribué à la baisse des prix dans la fonction Logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles, malgré l'augmentation des prix des loyers », souligne l’INSD.
Le recul des prix au niveau de la fonction Loisirs et culture est tributaire de la baisse des prix des appareils de réception, enregistrement et reproduction.
Les autres fonctions de consommation sont restées quasi stable dans l’évolution de leurs prix.
Suivant la volatilité, l’INSD note que la hausse du niveau général des prix à la consommation est principalement due aux produits frais et aux produits autres que les produits frais et l'énergie. Cependant, les produits de l’énergie enregistrent une baisse de leur prix par rapport au mois précédent.
En ce qui concerne la durabilité des produits, seuls les prix des produits non durables ont contribué à la hausse du niveau général des prix à la consommation. En revanche, les produits durables ont quant à eux connu une baisse de leur prix.
L’indicateur de convergence de l’UEMOA pour le mois de mars 2024 (moyenne des indices des 12 derniers mois comparés à celle des 12 derniers mois précédents) est de 0,21%, contre 12,79% en mars 2023.
Oumar Nourou
Selon cette structure, la hausse du niveau général des prix à la consommation en mars 2024 est attribuable à l'augmentation des prix dans plusieurs fonctions, notamment les Produits alimentaires et les boissons non alcoolisées, les Boissons alcoolisées, tabac et stupéfiants, la Santé, ainsi que les Restaurants et hôtels.
Cependant, cette hausse est atténuée par la baisse des prix dans les fonctions Logement, eau, gaz, électricité et des autres combustibles et Loisirs et culture.
En ce qui concerne l'évolution des prix des Produits alimentaires et boissons non alcoolisées, elle est principalement attribuable à l'augmentation des prix des céréales, des légumes secs et oléagineux, ainsi que du sel, des épices et des sauces. Cette hausse est en partie freinée par la baisse des prix des farines et des légumes frais.
Dans la fonction des Boissons alcoolisées, du tabac et des stupéfiants, la hausse des prix est influencée par l'augmentation des prix de la noix de cola, du tabac local à chiquer et du dolo. Quant à l'augmentation des prix dans la fonction Santé, l’INSD indique qu’elle est attribuable à l'augmentation des frais de consultation chez les pédiatres.
Concernant la hausse des prix dans la fonction Restaurants et hôtels, elle est principalement causée par l'augmentation des prix des sandwiches vendus dans les kiosques et du porc au four. « La baisse des prix des combustibles solides a contribué à la baisse des prix dans la fonction Logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles, malgré l'augmentation des prix des loyers », souligne l’INSD.
Le recul des prix au niveau de la fonction Loisirs et culture est tributaire de la baisse des prix des appareils de réception, enregistrement et reproduction.
Les autres fonctions de consommation sont restées quasi stable dans l’évolution de leurs prix.
Suivant la volatilité, l’INSD note que la hausse du niveau général des prix à la consommation est principalement due aux produits frais et aux produits autres que les produits frais et l'énergie. Cependant, les produits de l’énergie enregistrent une baisse de leur prix par rapport au mois précédent.
En ce qui concerne la durabilité des produits, seuls les prix des produits non durables ont contribué à la hausse du niveau général des prix à la consommation. En revanche, les produits durables ont quant à eux connu une baisse de leur prix.
L’indicateur de convergence de l’UEMOA pour le mois de mars 2024 (moyenne des indices des 12 derniers mois comparés à celle des 12 derniers mois précédents) est de 0,21%, contre 12,79% en mars 2023.
Oumar Nourou
Source : https://www.lejecos.com/Burkina-Les-prix-a-la-cons...