Le groupe de journalistes sénégalais partis accompagner Me Abdoulaye Wade n’a pas voulu rater l’occasion, dans le vol retour Benghazi-Paris, de tailler bavette avec le Président Abdoulaye Wade. Le temps de faire un petit lobbying et le tour est joué. Pour ne pas dire que c’est notre confrère Cheikh Diallo, qui est entré directement dans la loge du chef de l’Etat pour le convaincre d’accéder à la requête de la presse sénégalaise. Mais, quelques secondes avant le démarrage de ce qui était un entretien groupé, une amicale querelle d'image s'est posée entre le conseiller du ministre d’Etat chargé de la Coopération internationale et de l’Energie et Marie-Luce Skrabursky (et non Anne Meaux, comme la confusion a pu se faire ici et là) chargée des relations avec la presse française à Image 7. Tout cela, nous-a-t-on dit, sous le regard neutre et gourmand de Karim Wade.
C’est le moment choisi par Cheikh Diallo pour tomber la veste de Me Wade, mais Marie-Luce l'a aussitôt remise. Sans insister, le journaliste-écrivain a dit au chef de l'Etat d'attendre qu'il lui noue avec délicatesse sa cravate rouge bordeaux, non sans ajuster la pochette de l'ancien allié de Kadhafi avec qui il partageait sa passion pour l’unité africaine et le panafricanisme. Cette petite différence de style entre Cheikh Diallo et Marie-Luce Skrabursky, apparemment anodine, va préfacer toute la campagne du …
Vieux pour l’élection présidentielle de février 2012. Bref, il ne serait pas surprenant d’assister à une sorte de guerre feutrée entre gourous de la com’ : Faut-il une campagne électorale en bras de chemise, du genre plutôt «maxima» qui sera pour rappeler une certaine «mode bretelles» ou une campagne dans les boubous, pour ne pas dire «minima» ? Comme le candidat à sa propre succession n’est pas né de la dernière pluie, politiquement s’entend, il y aura, sans doute, des étincelles dans l’air. La «jurisprudence Séguéla» vous connaissez ? Si vous n’êtes pas encore, demandez à Ousmane Tanor Dieng, Me Ousmane Ngom, Abdourahim Agne et compagnie qui soutenaient Abdou Diouf à l’élection présidentielle de 2000 qui a vu Me Abdoulaye Wade, après 26 ans d’opposition, accéder au pouvoir et permettre au Sénégal de connaître sa première alternance démocratique.
PiccMi.Com - La Rédaction
C’est le moment choisi par Cheikh Diallo pour tomber la veste de Me Wade, mais Marie-Luce l'a aussitôt remise. Sans insister, le journaliste-écrivain a dit au chef de l'Etat d'attendre qu'il lui noue avec délicatesse sa cravate rouge bordeaux, non sans ajuster la pochette de l'ancien allié de Kadhafi avec qui il partageait sa passion pour l’unité africaine et le panafricanisme. Cette petite différence de style entre Cheikh Diallo et Marie-Luce Skrabursky, apparemment anodine, va préfacer toute la campagne du …
Vieux pour l’élection présidentielle de février 2012. Bref, il ne serait pas surprenant d’assister à une sorte de guerre feutrée entre gourous de la com’ : Faut-il une campagne électorale en bras de chemise, du genre plutôt «maxima» qui sera pour rappeler une certaine «mode bretelles» ou une campagne dans les boubous, pour ne pas dire «minima» ? Comme le candidat à sa propre succession n’est pas né de la dernière pluie, politiquement s’entend, il y aura, sans doute, des étincelles dans l’air. La «jurisprudence Séguéla» vous connaissez ? Si vous n’êtes pas encore, demandez à Ousmane Tanor Dieng, Me Ousmane Ngom, Abdourahim Agne et compagnie qui soutenaient Abdou Diouf à l’élection présidentielle de 2000 qui a vu Me Abdoulaye Wade, après 26 ans d’opposition, accéder au pouvoir et permettre au Sénégal de connaître sa première alternance démocratique.
PiccMi.Com - La Rédaction