Me Abdoulaye Wade, président de la République se rendra, confient diverses sources, mardi prochain en Guinée-Bissau pour assister aux obsèques de l’assassiné chef d’Etat guinéen, Nino Viera prévus ce jour. Sitôt de retour à Dakar, informent des sources proches de son parti, le Parti démocratique sénégalais (Pds), il (re)prendra son bâton de pèlerin électoral pour s’enfoncer en campagne à l’intérieur du pays, même si pour les besoins de la cause, un avion sera affrété. Aux frais de qui en ces périodes de déches et de dépenses hors budget ? Mystère et boule de gomme. Toujours est-il que, avancent les mêmes sources, il se rendra dans le Guidimakha (Bakel), le royaume de Abdoulaye Bathily et de Cheikh Cissokho de la coalition « Benno Siggil Sénégaal », à Tambacounda, à Podor, à Kaolack et bouclera sa tournée « électorale » par la capitale nationale, dans la dernière semaine. L’enjeu certainement. Si Paris vaut une messe….
Le Secrétaire général du Pds, c’est à ce titre, disent ses affidés, qu’il bat campagne, retourne ainsi sur le terrain après ses pudiques « tournées économiques » du début pour « fouetter » l’ardeur de ses troupes de la coalition « Sopi 2009 » qui semblent ainsi ahaner déjà en ce début de campagne électorale, minées qu’elles sont par les querelles intestines et les frustrations nées des investitures. Ses troupes buttent aussi sur les tirs groupés de l’opposition et même de fractions issues de leurs propres rangs qui ont fait bandes à part.
Le Pds et sa coalition Sopi 2009 paraissent mal-en-point en l’entame. Est-ce un leurre pour tromper des adversaires rendus ainsi confiants ? Ou plutôt l’expression d’une apathie causée par le rejet d’une greffe mal assortie ? Une situation qui oblige en tout cas, le « Vieux » à rechausser ses bottes de mille lieux et de battre campagne. « Rien ne peut empêcher le Secrétaire général d’un parti et le chef politique d’une coalition de soutenir et la formation et la coalition en campagne électorale », argumentent certains de ses proches joints au téléphone. Soit, mais et l’arbitre institutionnel qu’est-ce qu’on en fait ? Qu’à cela ne tienne simple « Ombre » dans « Sopi ak moom » en 2001, Me Wade a décidé ainsi d’être et de peser de tout son poids pour le triomphe des listes Sopi 2009, quitte à tordre le cou au Code électoral.
Le Secrétaire général du Pds, c’est à ce titre, disent ses affidés, qu’il bat campagne, retourne ainsi sur le terrain après ses pudiques « tournées économiques » du début pour « fouetter » l’ardeur de ses troupes de la coalition « Sopi 2009 » qui semblent ainsi ahaner déjà en ce début de campagne électorale, minées qu’elles sont par les querelles intestines et les frustrations nées des investitures. Ses troupes buttent aussi sur les tirs groupés de l’opposition et même de fractions issues de leurs propres rangs qui ont fait bandes à part.
Le Pds et sa coalition Sopi 2009 paraissent mal-en-point en l’entame. Est-ce un leurre pour tromper des adversaires rendus ainsi confiants ? Ou plutôt l’expression d’une apathie causée par le rejet d’une greffe mal assortie ? Une situation qui oblige en tout cas, le « Vieux » à rechausser ses bottes de mille lieux et de battre campagne. « Rien ne peut empêcher le Secrétaire général d’un parti et le chef politique d’une coalition de soutenir et la formation et la coalition en campagne électorale », argumentent certains de ses proches joints au téléphone. Soit, mais et l’arbitre institutionnel qu’est-ce qu’on en fait ? Qu’à cela ne tienne simple « Ombre » dans « Sopi ak moom » en 2001, Me Wade a décidé ainsi d’être et de peser de tout son poids pour le triomphe des listes Sopi 2009, quitte à tordre le cou au Code électoral.