Et de 2. La Guinée Équatoriale ne réussit vraiment pas au Sénégal ! Pour la deuxième fois l’expédtion a été malheureuse pour les Lions de la Teranga. Une victoire devant le Ghana (2-1), Un nul devant les Bafana-Bafana (1-1) et une défaite devant l’Algérie (2-0) pour la dernière journée du groupe C fait sortir les Lions du tournoi. L’espoir de tout un peu s’écroule comme château de cartes. Les férus de foot vont insulter le sélectionneur, Alain Giresse. Beaucoup ont même commencé à le critiquer depuis la deuxième sortie des Lions face à l’Afrique du sud. Giresse, le pauvre va être le bouc émissaire de cette déconvenue. Il va être jeté en pâture par la Fédération sénégalaise de football. En matière de communication, il faut toujours un bouc émissaire. Personne ne va défendre l’entraineur. Pourtant les sénégalais sont habitués à ce scénario. Alain Giresse n’est pas le premier selectionneur à réaliser cette contre performance. On l’a vécu avec Guy stéphane, avec Kasperckzak. On l’a encore vu avec Amara Traoré. A Tamalé en 2008; Kasperckzack qui coachait l’équipe du Sénégal avait dit aprés une élimination prématurée que « cette équipe là du Sénégal n’a pas d’âme ». Il faut que l’on s’arrête et lire de façon lucide cette élimination du Sénégal. Le coaching de Giresse n’est pas certes exempt de reproches, mais l’équipe depuis le début de ce tournoi n’a pas été rassurante. Elle a montré des faiblesses, des fébrilités au niveau de la défense. Mais devant l’euphorie des victoires, les sénégalais n’ont pas voulu voir ces petites erreurs.
De grâce, laissons les querelles de fontaine. Oublions cette défaite. Essayons de bâtir une équipe compétitive. L’Algérie n’est pas une petite équipe, c’est le numéro en Afrique.
Maintenant, il est temps qu’on fasse confiance aux compétences locales. Beaucoup d’anciens joueurs, notamment ceux de la belle épopée de 2002 sont là. Travaillons à les impliquer dans la gestion de l’équipe nationale. Mais surtout, nous devons être plus patriotes. Bannissons la corruption, le copinage et le clientélisme au sein de notre football. Alain Giresse n’est pas le seul maux qui gangrène notre football. Le ver est dans le fruit. Le problème dans notre se trouve en nous. Giresse n’est qu’un bouc émissaire. Le véritable responsabel c’est nous. Assumons-le.
Mortalla Diop
De grâce, laissons les querelles de fontaine. Oublions cette défaite. Essayons de bâtir une équipe compétitive. L’Algérie n’est pas une petite équipe, c’est le numéro en Afrique.
Maintenant, il est temps qu’on fasse confiance aux compétences locales. Beaucoup d’anciens joueurs, notamment ceux de la belle épopée de 2002 sont là. Travaillons à les impliquer dans la gestion de l’équipe nationale. Mais surtout, nous devons être plus patriotes. Bannissons la corruption, le copinage et le clientélisme au sein de notre football. Alain Giresse n’est pas le seul maux qui gangrène notre football. Le ver est dans le fruit. Le problème dans notre se trouve en nous. Giresse n’est qu’un bouc émissaire. Le véritable responsabel c’est nous. Assumons-le.
Mortalla Diop