Ces mots semblent raffermir les liens entre la presse sénégalaise et la tanière quand on sait que les journalistes ont rigolé suite à ce geste taquin de Mané. D’autant que ces derniers jours, c’était tendu depuis la bourde de Koulibaly mettant tous les journalistes dans un même sac à la suite d’un article paru dans un journal. A deux jours du quart de finale contre le Bénin, cette ambiance était la bienvenue.

L’agent de la BIP gâche tout
Un agent de la BIP a gâché cette ambiance qui avait pourtant bien débuté. En effet, peu après l’arrivée des joueurs, il a demandé à un journaliste qui a renvoyé la balle sur le terrain, de ne plus toucher le ballon de l’équipe du Sénégal. Pourtant, ce confrère n’y était pour rien. il a juste voulu être gentil en remettant le ballon à l’équipe surtout que ça l’a trouvé sur place. Il n’était pas sur le terrain.
Alors qu’on pensait que c’était fini mais non. L’agent de sécurité est allé le raconter au commissaire Sarr. Une geste qui n’avait pas lieu d’être puisque le journaliste n’a pas contourné les règles établies par la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) ou la Confédération Africaine de Football (CAF).
Un agent de la BIP a gâché cette ambiance qui avait pourtant bien débuté. En effet, peu après l’arrivée des joueurs, il a demandé à un journaliste qui a renvoyé la balle sur le terrain, de ne plus toucher le ballon de l’équipe du Sénégal. Pourtant, ce confrère n’y était pour rien. il a juste voulu être gentil en remettant le ballon à l’équipe surtout que ça l’a trouvé sur place. Il n’était pas sur le terrain.
Alors qu’on pensait que c’était fini mais non. L’agent de sécurité est allé le raconter au commissaire Sarr. Une geste qui n’avait pas lieu d’être puisque le journaliste n’a pas contourné les règles établies par la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) ou la Confédération Africaine de Football (CAF).