Voici un parti qui se dit démocratique ou une et une seule personne fait la pluie et le beau temps sur le regard poltron de responsables qui sont plus préoccupés pour des postes que le fonctionnement réglementaire de leur parti.
Même si les Sénégalais se sont rendu compte durant ces dix dernières années que le PDS qui dispose au cœur de son sigle d’une lettre D qui signifie Démocratique est tout sauf un parti démocratique, les responsables politique devraient avoir honte de vouloir amené une aussi vieille personne à se représenté pour un troisième mandat en 2012.
Aujourd’hui on constate que comme dans une dictature le président et son entourage semble être prêt à commettre une forfaiture fut elle anticonstitutionnelle pour briguer un troisième mandat.
Mais, il faut dire que même si la responsabilité de maitre wade se trouve être engagé en ne donnant aucun respect aux responsables de son parti on a toujours noté un suivisme aveuglé des cadres du parti aux décisions du maitre même si celles-ci concourent à fragiliser le parti.
Ces responsables on cautionné la liquidation de tous les potentiel successeurs comme IDRISSA SECK et Macky Sall qui tous les deux pouvaient légitimement assurer la continuité du travail au sein de la formation.
C’est pourquoi les analystes ne cessent de dire que Wade décide seul et par conséquent se trompe seul.
Ce comportement se trouve être très aberrant pour un dirigeant d’un parti qui se dit démocratique mais il est aussi humiliant pour les cadres amenés à reprendre le flambeau pour la survie du parti après le départ de son géniteur.
Malheureusement ces derniers ne se sont jamais opposé aux multitudes forfaitures de ce dirigeant que beaucoup croit qu’il est entrain d’être trahi mentalement par son âge.
Cet Unilatéralisme qu’il a toujours mené au PDS, il l’a littéralement utilisé comme mode de gouvernance de la république depuis l’alternance avec la complicité plus que coupable de responsables politiques qui se disent de grande importance.
Cette absence d’ambition et de discernement des responsables du PDS ont aidé maitre wade à se radicaliser dans cette méthode unilatérale en se sens comme des moutons de panurge ils ont toujours dit oui aux caprices du vieux.
C’est ainsi que l’expression honteuse : (MAITRE WADE est la seule constante au PDS) est souvent utilisé s’il s’agit de liquider un ancien camarade de parti.
Et je crois qu’en adoptant cette attitude depuis déjà dix ans les responsables du parti démocratique Sénégalais ont amené ce célèbre opposant à se couper de la réalité politique dans une démocratie.
En faisant le vide total autour de lui avec la complicité des responsables très haut placés maitre Wade qui est physiologiquement au crépuscule de ses combats politiques est incapable de trouver un successeur qui fait l’unanimité à la tête de sa formation.
Aujourd’hui si les responsables PDS laissent Maître Wade se présenter en 2012, se serait le plus mauvais service rendu à un homme qui devrait occuper pour la postérité une place de choix sur le DIAGRAMME de l’histoire politique du Sénégal.
En effet dés l’instant que sa candidature est contestée constitutionnellement Maitre Wade partira avec un handicape de l’légitimité tant intérieur que sur le plan international.
Une victoire aux joutes de 2012 serait facilement contestable et les contestataires n’auront aucune difficultés d’obtenir un soutient sur le plan international en criant à un holdup constitutionnel.
Une défaite en 2012 placera maitre Wade dans une position très inconfortable en se sens que le victorieux ne lui donnera aucun cadeau si on sait que tous les potentiels candidats ont promis de maitre la lumière sur les fautes de gestion commises durant les dix dernières années.
Cela dit, au lieu d’appuyer une candidature inopportune de ce vieil homme qui est à la limite de l’usure politique, la direction du PDS devrait pour une foi enfin s’attelé à renvoyer Maitre Wade de gré ou de force à la retraite en 2012.
Ainsi le parti fonctionnerait comme devrait fonctionner un parti démocratique avec une élection transparente d’un successeur suivant des consultations libres et transparentes.
Le successeur désigné pourra se présenter avec le soutien d’un parti qui fonctionne conformément aux textes appropriés d’un parti politique.
Maitre Wade pourra ainsi partir la tête haute de la tête du pays tout en bénéficiant d’une retraite politique paisible.
Si la direction du PDS n’a pas le courage d’affronter Maitre Wade suivant les règle qui régissent le PDS alors il serait impératif que KARIM WADE en tant que fils prenne ses responsabilités en occupant la direction du PDS afin d’éviter à son père une humiliation qu’il ne mérite pas compte tenu de son parcours politique.
Aujourd’hui le véritable débat au PDS devrait être comment faire pour assurer à Maitre Wade une retraite politique digne de son parcours.
Ceux qui se réclament du Wadisme ainsi que les cadres authentiques du PDS ont le devoir de donner cet ultime cadeau au prophète du SOPI en2012.
Croire au discours des politiciens tortueux qui se servent de Wade pour exister serait un suicide pour tout héritier politique sincère.
Mbodji So Kazikolda@yahoo.fr
Même si les Sénégalais se sont rendu compte durant ces dix dernières années que le PDS qui dispose au cœur de son sigle d’une lettre D qui signifie Démocratique est tout sauf un parti démocratique, les responsables politique devraient avoir honte de vouloir amené une aussi vieille personne à se représenté pour un troisième mandat en 2012.
Aujourd’hui on constate que comme dans une dictature le président et son entourage semble être prêt à commettre une forfaiture fut elle anticonstitutionnelle pour briguer un troisième mandat.
Mais, il faut dire que même si la responsabilité de maitre wade se trouve être engagé en ne donnant aucun respect aux responsables de son parti on a toujours noté un suivisme aveuglé des cadres du parti aux décisions du maitre même si celles-ci concourent à fragiliser le parti.
Ces responsables on cautionné la liquidation de tous les potentiel successeurs comme IDRISSA SECK et Macky Sall qui tous les deux pouvaient légitimement assurer la continuité du travail au sein de la formation.
C’est pourquoi les analystes ne cessent de dire que Wade décide seul et par conséquent se trompe seul.
Ce comportement se trouve être très aberrant pour un dirigeant d’un parti qui se dit démocratique mais il est aussi humiliant pour les cadres amenés à reprendre le flambeau pour la survie du parti après le départ de son géniteur.
Malheureusement ces derniers ne se sont jamais opposé aux multitudes forfaitures de ce dirigeant que beaucoup croit qu’il est entrain d’être trahi mentalement par son âge.
Cet Unilatéralisme qu’il a toujours mené au PDS, il l’a littéralement utilisé comme mode de gouvernance de la république depuis l’alternance avec la complicité plus que coupable de responsables politiques qui se disent de grande importance.
Cette absence d’ambition et de discernement des responsables du PDS ont aidé maitre wade à se radicaliser dans cette méthode unilatérale en se sens comme des moutons de panurge ils ont toujours dit oui aux caprices du vieux.
C’est ainsi que l’expression honteuse : (MAITRE WADE est la seule constante au PDS) est souvent utilisé s’il s’agit de liquider un ancien camarade de parti.
Et je crois qu’en adoptant cette attitude depuis déjà dix ans les responsables du parti démocratique Sénégalais ont amené ce célèbre opposant à se couper de la réalité politique dans une démocratie.
En faisant le vide total autour de lui avec la complicité des responsables très haut placés maitre Wade qui est physiologiquement au crépuscule de ses combats politiques est incapable de trouver un successeur qui fait l’unanimité à la tête de sa formation.
Aujourd’hui si les responsables PDS laissent Maître Wade se présenter en 2012, se serait le plus mauvais service rendu à un homme qui devrait occuper pour la postérité une place de choix sur le DIAGRAMME de l’histoire politique du Sénégal.
En effet dés l’instant que sa candidature est contestée constitutionnellement Maitre Wade partira avec un handicape de l’légitimité tant intérieur que sur le plan international.
Une victoire aux joutes de 2012 serait facilement contestable et les contestataires n’auront aucune difficultés d’obtenir un soutient sur le plan international en criant à un holdup constitutionnel.
Une défaite en 2012 placera maitre Wade dans une position très inconfortable en se sens que le victorieux ne lui donnera aucun cadeau si on sait que tous les potentiels candidats ont promis de maitre la lumière sur les fautes de gestion commises durant les dix dernières années.
Cela dit, au lieu d’appuyer une candidature inopportune de ce vieil homme qui est à la limite de l’usure politique, la direction du PDS devrait pour une foi enfin s’attelé à renvoyer Maitre Wade de gré ou de force à la retraite en 2012.
Ainsi le parti fonctionnerait comme devrait fonctionner un parti démocratique avec une élection transparente d’un successeur suivant des consultations libres et transparentes.
Le successeur désigné pourra se présenter avec le soutien d’un parti qui fonctionne conformément aux textes appropriés d’un parti politique.
Maitre Wade pourra ainsi partir la tête haute de la tête du pays tout en bénéficiant d’une retraite politique paisible.
Si la direction du PDS n’a pas le courage d’affronter Maitre Wade suivant les règle qui régissent le PDS alors il serait impératif que KARIM WADE en tant que fils prenne ses responsabilités en occupant la direction du PDS afin d’éviter à son père une humiliation qu’il ne mérite pas compte tenu de son parcours politique.
Aujourd’hui le véritable débat au PDS devrait être comment faire pour assurer à Maitre Wade une retraite politique digne de son parcours.
Ceux qui se réclament du Wadisme ainsi que les cadres authentiques du PDS ont le devoir de donner cet ultime cadeau au prophète du SOPI en2012.
Croire au discours des politiciens tortueux qui se servent de Wade pour exister serait un suicide pour tout héritier politique sincère.
Mbodji So Kazikolda@yahoo.fr