" Devant une telle situation et, dans le seul souci d’éclairer une fois pour toute l’opinion nationale et internationale, je fais ici et maintenant, les précisions et clarifications suivantes" a déclaré Serigne Mbacké Ndiaye; Pour lui, l'Assemblée Nationale, en sa séance du lundi 28 juillet 2008 avait procédé à la modification suivante :Article unique : la première phrase de l’alinéa premier de l’article 27 de la Constitution est abrogée et remplacée par les dispositions suivantes :« La durée du mandat du Président de la République est de sept ans, la présente modification ne s’applique pas au mandat du Président de la République en exercice au moment de son adoption.» explique-t-il. A l'en croire, le Congrès (Assemblée et Senat) en sa séance du 13 octobre 2008 avait adopté les mêmes dispositions. Que sont: Le Président de la République, promulguait cette modification qui a été publiée par le Journal officiel n°6432 du 21 octobre 2008. L’autre aspect important, voir fondamental, toujours selon lui, est que la nouvelle Constitution du Sénégal a été votée en 2001 alors que le Président de la République avait déjà été élu en 2000.
"Donc la limitation du nombre de mandats de cinq ans à deux ne peut rétroagir sur le mandat de sept ans que si cette loi le prévoyait expressément, ce qui n’est pas le cas. C’est le
principe de la non rétroactivité des lois" fait-il savoir. Mais, ajoute Serigne Mbacké Ndiaye, " comme peut donc le contacter tout un chacun, la candidature du Président Abdoulaye Wade en 2012 ne pourrait, en aucun cas, souffrir d’une quelconque irrégularité. En conséquence, ce débat est pour nous clos et définitivement clos.Que ceux qui, pour des raisons politiciennes voudront le continuer s’adressent à qui de droit" conclut-il.
Pape Mbaye Leral.net
"Donc la limitation du nombre de mandats de cinq ans à deux ne peut rétroagir sur le mandat de sept ans que si cette loi le prévoyait expressément, ce qui n’est pas le cas. C’est le
principe de la non rétroactivité des lois" fait-il savoir. Mais, ajoute Serigne Mbacké Ndiaye, " comme peut donc le contacter tout un chacun, la candidature du Président Abdoulaye Wade en 2012 ne pourrait, en aucun cas, souffrir d’une quelconque irrégularité. En conséquence, ce débat est pour nous clos et définitivement clos.Que ceux qui, pour des raisons politiciennes voudront le continuer s’adressent à qui de droit" conclut-il.
Pape Mbaye Leral.net