Un militaire abattu mercredi dernier sur une des positions de l’armée à Barkabanaw dans la Communauté rurale de Boutoupa Camaracounda dans l’arrondissement de Niaguis, la réplique de ne s’est pas fait attendre ; un ratissage dans la zone a été aussitôt opéré. Et comme si cela ne suffisait pas des éléments supposés appartenir au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) ont attaqué une autre position de l’armée dans la zone de Djâbir, tuant un sous officier, le Sergent Saliou TINE, trois autres militaires ont été aussi blessés dans la foulée. Les heures qui ont suivi cette incursion rebelle n’ont pas été pas été de tout repos pour les populations de Diabir et environ qui ont vécu au rythme de tirs d’armes lourdes. Il n’ ya pas encore de bilan connu des pertes du coté des éléments armés inconnus supposés appartenir au Mfdc lors de ces accrochages avec l’armé ; d’ailleurs jamais il n’a été possible parler de bilan de leur cotés.
Si les paysans qui voulaient rejoindre leurs champs cette matinée du samedi ont été contrains de rebrousser chemins par les militaires qui effectuaient un ratissages dans la zone ; les population malgré la grande hantise et la peur qui se lisaient sur les visages vaquaient à leurs occupations après les tirs perceptibles jusqu’à la périphérie de Ziguinchor. Deux militaires tués en l’espace de soixante douze heures la situation a atteint son paroxysme, disent certains qui s’inquiètent de plus en plus face à ce regain de violence qui plonge la région déjà meurtrie par un quart de siècle de conflit dans une ré embrasement.
Difficile de parler de cette semaine sanglante, sans faire état de cette incursions d’éléments armés à Edioungou a la lisière de la commune d’Oussouye. Une irruption de bandes armées qui d’est soldé par un civil tué, le déommé Emmanuel Diagne froidement abattu par ces hommes armés qui ont imprimé une heure de terreur dans ce village avant l’arrivée des militaire.
Depuis quelques temps ces bandes armées se ruer sur les positions de l’armée ; si ce ne sont pas des militaires qui sont surpris sur leur position c’est des embuscades qui sont tendues par ces rebelles comme ce fut le cas il ya deux mois dans le Sédhiou ou six militaires ont été tués dans cet assaut d’éléments armés .
Huit militaires tués depuis octobre le bilan macabre du coté de la grande muette irritent aujourd’hui certains officiers qui s’insurgent contre les positions conciliantes des autorités avec le mouvement irrédentiste
SudFM Ziguinchor
Si les paysans qui voulaient rejoindre leurs champs cette matinée du samedi ont été contrains de rebrousser chemins par les militaires qui effectuaient un ratissages dans la zone ; les population malgré la grande hantise et la peur qui se lisaient sur les visages vaquaient à leurs occupations après les tirs perceptibles jusqu’à la périphérie de Ziguinchor. Deux militaires tués en l’espace de soixante douze heures la situation a atteint son paroxysme, disent certains qui s’inquiètent de plus en plus face à ce regain de violence qui plonge la région déjà meurtrie par un quart de siècle de conflit dans une ré embrasement.
Difficile de parler de cette semaine sanglante, sans faire état de cette incursions d’éléments armés à Edioungou a la lisière de la commune d’Oussouye. Une irruption de bandes armées qui d’est soldé par un civil tué, le déommé Emmanuel Diagne froidement abattu par ces hommes armés qui ont imprimé une heure de terreur dans ce village avant l’arrivée des militaire.
Depuis quelques temps ces bandes armées se ruer sur les positions de l’armée ; si ce ne sont pas des militaires qui sont surpris sur leur position c’est des embuscades qui sont tendues par ces rebelles comme ce fut le cas il ya deux mois dans le Sédhiou ou six militaires ont été tués dans cet assaut d’éléments armés .
Huit militaires tués depuis octobre le bilan macabre du coté de la grande muette irritent aujourd’hui certains officiers qui s’insurgent contre les positions conciliantes des autorités avec le mouvement irrédentiste
SudFM Ziguinchor