Dans un mémorandum qui a sanctionné la marche, lu et remis au préfet du département de Bignona, les potaches ont demandé : « l’arrêt immédiat des hostilités , l’ouverture de négociations sérieuses entre le gouvernement et le mouvement des forces démocratiques de la Casamance en impliquant toutes les forces vives de la nation et les république sœurs de la Gambie et de la Guinée Bissau. Nous demandons aussi un soutien agissant et un accompagnement constant de l’état et des collectivités locales vis-à-vis des structures de formation et d’apprentissage existant à Bignona en vue d’une meilleure promotion de l’emploi » dira mademoiselle Yama Goudiaby ministre de la femme du gouvernement de l’Acapes dans le Bignona.
OSCAR GUEYE, Correspondant leral.net dans le sud
OSCAR GUEYE, Correspondant leral.net dans le sud