Les anciens élèves du CEM Pionniers de Rufisque avaient exprimé leur profonde déception, face à l'arrêt soudain des travaux de reconstruction et de modernisation de leur collège. À ce moment-là, le chantier avait été complètement immobilisé depuis près de deux mois et le bâtiment du rez-de-chaussée n'avait même pas atteint le stade du chaînage supérieur.
Cinq mois plus tard, le bâtiment a finalement vu le jour. Bien équipé, avec huit salles de classe modernes, ce qui représente une aubaine pour les apprenants.
« C’est une aubaine parce qu’on s’était retrouvés avec seulement cinq salles de classe, ce qui était très difficile. Maintenant qu’on nous a ajouté huit de plus, on va pouvoir loger toutes les autres classes et ce sera très bénéfique pour nous », s’est réjouie Diariétou Daïdeu Sy, présidente du Gouvernement Scolaire, qui a invité ses camarades à bien entretenir leur nouveau bijou.
Ce projet a été initié par l'Association des Anciens Élèves du CEM des Pionniers du Syndicalisme Africain, G80-90, un établissement public créé en 1965, par l'État du Sénégal. Il représente une enveloppe financière estimée à près de 300 millions FCfa, avec l'appui de partenaires espagnols.
« Nous avons choisi cette école parce qu’elle traverse des moments difficiles à cause des inondations. J’en ai discuté avec mes collaborateurs espagnols, qui ont constaté que le problème ne se limite pas seulement aux inondations mais aussi à l’humidité au niveau des salles de classe. C’est par la suite que nous avons pris l’engagement de construire ces huit salles de classe, avec un investissement d’environ 100 millions FCfa », a précisé Baila Lam dit Samba, membre de la Fondation Sociale Plato (PSF) dirigée par Jordi Puyol.
Ces huit nouvelles salles de classe construites sur deux niveaux, viennent pallier la situation difficile que vivent les élèves de cet établissement d'excellence.
« Il y a un peu plus de deux ans, nous lancions notre programme intitulé "And Défarat sunu CEM", un projet de 300 millions FCfa. Aujourd’hui, nous venons de terminer la première phase, qui s’est établie à un peu plus de 100 millions FCfa. Elle est constituée de huit salles de classe complètement équipées pour les élèves. C’est un véritable bijou », a déclaré Babacar Guèye, président de l'association.
La qualité des infrastructures et les horaires raisonnables de cours étant des intrants pédagogiques, les anciens élèves se sont fixés comme objectif, de rénover cet établissement public qui a guidé leurs premiers pas vers la réussite scolaire et sociale.
Malgré cette première étape cruciale, les membres de l'Association des Anciens Élèves du CEM des Pionniers du Syndicalisme Africain appellent les autorités rufisquoises et étatiques, à venir en aide à l’établissement. Le remblayage et le pavage de l’école demeurent des défis à relever. Le président invite également les anciens élèves du collège à soutenir ce lieu d’apprentissage.
« Nous rappelons les autorités politiques et administratives de cette ville, à venir nous aider, surtout pour le remblayage et le pavage de cet établissement. Pour ce qui est du bâtiment, nous allons continuer à travailler avec nos partenaires, pour finaliser les deux autres bâtiments qui restent. Notre objectif est de réaliser les 24 salles de classe. L’école est un vieil établissement. Nous faisons appel à nos aînés et à nos cadets qui sont passés dans cette école, pour soutenir l’établissement », a lancé M. Guèye.
Birame Khary Ndaw
Cinq mois plus tard, le bâtiment a finalement vu le jour. Bien équipé, avec huit salles de classe modernes, ce qui représente une aubaine pour les apprenants.
« C’est une aubaine parce qu’on s’était retrouvés avec seulement cinq salles de classe, ce qui était très difficile. Maintenant qu’on nous a ajouté huit de plus, on va pouvoir loger toutes les autres classes et ce sera très bénéfique pour nous », s’est réjouie Diariétou Daïdeu Sy, présidente du Gouvernement Scolaire, qui a invité ses camarades à bien entretenir leur nouveau bijou.
Ce projet a été initié par l'Association des Anciens Élèves du CEM des Pionniers du Syndicalisme Africain, G80-90, un établissement public créé en 1965, par l'État du Sénégal. Il représente une enveloppe financière estimée à près de 300 millions FCfa, avec l'appui de partenaires espagnols.
« Nous avons choisi cette école parce qu’elle traverse des moments difficiles à cause des inondations. J’en ai discuté avec mes collaborateurs espagnols, qui ont constaté que le problème ne se limite pas seulement aux inondations mais aussi à l’humidité au niveau des salles de classe. C’est par la suite que nous avons pris l’engagement de construire ces huit salles de classe, avec un investissement d’environ 100 millions FCfa », a précisé Baila Lam dit Samba, membre de la Fondation Sociale Plato (PSF) dirigée par Jordi Puyol.
Ces huit nouvelles salles de classe construites sur deux niveaux, viennent pallier la situation difficile que vivent les élèves de cet établissement d'excellence.
« Il y a un peu plus de deux ans, nous lancions notre programme intitulé "And Défarat sunu CEM", un projet de 300 millions FCfa. Aujourd’hui, nous venons de terminer la première phase, qui s’est établie à un peu plus de 100 millions FCfa. Elle est constituée de huit salles de classe complètement équipées pour les élèves. C’est un véritable bijou », a déclaré Babacar Guèye, président de l'association.
La qualité des infrastructures et les horaires raisonnables de cours étant des intrants pédagogiques, les anciens élèves se sont fixés comme objectif, de rénover cet établissement public qui a guidé leurs premiers pas vers la réussite scolaire et sociale.
Malgré cette première étape cruciale, les membres de l'Association des Anciens Élèves du CEM des Pionniers du Syndicalisme Africain appellent les autorités rufisquoises et étatiques, à venir en aide à l’établissement. Le remblayage et le pavage de l’école demeurent des défis à relever. Le président invite également les anciens élèves du collège à soutenir ce lieu d’apprentissage.
« Nous rappelons les autorités politiques et administratives de cette ville, à venir nous aider, surtout pour le remblayage et le pavage de cet établissement. Pour ce qui est du bâtiment, nous allons continuer à travailler avec nos partenaires, pour finaliser les deux autres bâtiments qui restent. Notre objectif est de réaliser les 24 salles de classe. L’école est un vieil établissement. Nous faisons appel à nos aînés et à nos cadets qui sont passés dans cette école, pour soutenir l’établissement », a lancé M. Guèye.
Birame Khary Ndaw