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CEREMONIE DE FIN D’ANNEE DU CENTRE DE FORMATION EN COUTURE ET ARTISANAT D’ART DE HANN

LES POPULATIONS POUR UNE MEILLEURE PRISE EN CHARGE DE LA LOCALITE DANS LES PROGRAMMES DE L’ETAT



La Synergie pour l’Education et la Formation des Jeunes Filles de la Banlieue (Hann) vient d’organiser la cérémonie marquant la fin d’année de son centre de formation en couture et artisanat d’art. L’occasion a été saisie par les populations présentes à cet événement de pousser l’Etat à une meilleure prise en charge de Hann dans ses programmes. Selon Moussé LOUM, principal artisan de cette manifestation et Coordonnateur de la SEFJFB : « Nous avons crée ce centre pour participer à la réinsertion des jeunes filles au niveau de notre localité.


Rédigé par leral.net le Mercredi 28 Juillet 2010 à 23:01 | | 0 commentaire(s)|

CEREMONIE DE FIN D’ANNEE DU CENTRE DE FORMATION EN COUTURE ET ARTISANAT D’ART DE HANN
Comme vous le voyez, les temps sont très difficiles et les déperditions nombreuses. Par les filières mises en place, nous voulons donner notre partition à l’éradication de ce phénomène, véritable plaie sociale », a-t-il dit .Revenant sur les moyens d’adhésion, M.LOUM de faire savoir : « Nous prenons en compte la situation des gens de la zone. Il y a une gratuité pour les orphelins et une réduction sensible pour les déshérités .Le seul problème aujourd’hui, c’est que nos autorités ne nous prêtent pas une oreille attentive ».L’ex responsable politique de Rewmi, Mbacké SECK qui a honoré de sa présence cette cérémonie d’inviter l’Etat à faire figurer dans ses tablettes infrastructurelles Hann : « M.LOUM est un jeune qui mérite l’attention des autorités étatiques.Il est entrain d’encadrer les jeunes filles et autres garçons pour leur trouver une planque .Il mérite soutien et félicitations. Hann est une localité laissée à elle-même .On ne nous considére pas comme village traditionnel ni comme une banlieue ni appartenant à la ville de Dakar.Nous sommes ignorés dans maints programmes et stratégies concernant la Banlieue dakaroise.Il faut que cela cesse »,a rugi le néo-libéral.

Ibrahima NGOM

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