En effet, la majeure partie des stocks de poissons est surexploitée, avec notamment la présence des bateaux étrangers en mer et certaines pratiques néfastes auxquelles se livrent certains pêcheurs. Ce qui ne fait qu’aggraver cette situation alarmante que traverse le secteur.
Le secteur de la pêche est d’un grand apport à l’économie nationale, car contribuant à hauteur de 2% au Pib et générant plus de 600 mille emplois. Cependant, depuis quelques années, la pêche est dans des eaux troubles et la ressource halieutique se fait de plus en plus rare au Sénégal. Cette situation est due aux mauvaises pratiques de pêche, notamment la surpêche et la pêche non déclarée et non réglementée (Inn), avec la présence massive des bateaux étrangers dans les eaux sénégalaises. Cette mauvaise gouvernance du secteur est toujours dénoncée par les organisations de la société civile et les acteurs, surtout ceux s’activant dans la pêche artisanale. Cette pêche non réglementée est caractérisée par de nombreux accords illicites avec des navires étrangers, qui s’adonnent à de mauvaises pratiques de pêches.
Ce qui représente une menace pour la sécurité alimentaire des Sénégalais. On note ainsi une rareté de la ressource halieutique au niveau des eaux sénégalaises. Du coup, les acteurs déplorent, tous, la non application des textes réglementaires et des documents stratégiques. Ils attendent ainsi du nouveau régime, de faire en sorte que ce pillage des ressources aux larges de nos côtes, s’arrête le plus rapidement possible.
Pour une bonne gouvernance des pêcheries au Sénégal, les acteurs avaient demandé à l’Etat de divulguer l’identité des bateaux qui sont autorisés à pêcher au Sénégal, avec une licence en bonne et due forme. Une vieille doléance que les nouveaux tenants du pouvoir ont eu à concrétiser, conformément à leurs engagements lors de la campagne pour la présidentielle du 24 mars dernier.
Ainsi, la liste des navires autorisées à pêcher dans les eaux sous juridiction sénégalaise, à la date du 6 mai 2024, a été publiée par la ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, Dr. Fatou Diouf. Ce qui semble constituer un grand pas vers la transparence dans la gestion des ressources halieutiques au Sénégal. Deux jours après la publication de la liste des bateaux agréés à pêcher par le ministère sénégalais de la Pêche, le chef de l’État a demandé le 8 mai 2024, en Conseil des ministres, un audit du secteur et une évaluation des accords de pêche avec les pays étrangers, y compris ceux avec l’Union européenne (UE). Une manière pour le nouveau pouvoir de revigorer un secteur de la pêche vital pour l’économie et les moyens de subsistance au Sénégal.
Le secteur de la pêche est d’un grand apport à l’économie nationale, car contribuant à hauteur de 2% au Pib et générant plus de 600 mille emplois. Cependant, depuis quelques années, la pêche est dans des eaux troubles et la ressource halieutique se fait de plus en plus rare au Sénégal. Cette situation est due aux mauvaises pratiques de pêche, notamment la surpêche et la pêche non déclarée et non réglementée (Inn), avec la présence massive des bateaux étrangers dans les eaux sénégalaises. Cette mauvaise gouvernance du secteur est toujours dénoncée par les organisations de la société civile et les acteurs, surtout ceux s’activant dans la pêche artisanale. Cette pêche non réglementée est caractérisée par de nombreux accords illicites avec des navires étrangers, qui s’adonnent à de mauvaises pratiques de pêches.
Ce qui représente une menace pour la sécurité alimentaire des Sénégalais. On note ainsi une rareté de la ressource halieutique au niveau des eaux sénégalaises. Du coup, les acteurs déplorent, tous, la non application des textes réglementaires et des documents stratégiques. Ils attendent ainsi du nouveau régime, de faire en sorte que ce pillage des ressources aux larges de nos côtes, s’arrête le plus rapidement possible.
Pour une bonne gouvernance des pêcheries au Sénégal, les acteurs avaient demandé à l’Etat de divulguer l’identité des bateaux qui sont autorisés à pêcher au Sénégal, avec une licence en bonne et due forme. Une vieille doléance que les nouveaux tenants du pouvoir ont eu à concrétiser, conformément à leurs engagements lors de la campagne pour la présidentielle du 24 mars dernier.
Ainsi, la liste des navires autorisées à pêcher dans les eaux sous juridiction sénégalaise, à la date du 6 mai 2024, a été publiée par la ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, Dr. Fatou Diouf. Ce qui semble constituer un grand pas vers la transparence dans la gestion des ressources halieutiques au Sénégal. Deux jours après la publication de la liste des bateaux agréés à pêcher par le ministère sénégalais de la Pêche, le chef de l’État a demandé le 8 mai 2024, en Conseil des ministres, un audit du secteur et une évaluation des accords de pêche avec les pays étrangers, y compris ceux avec l’Union européenne (UE). Une manière pour le nouveau pouvoir de revigorer un secteur de la pêche vital pour l’économie et les moyens de subsistance au Sénégal.