Une confusion à l’origine des rumeurs
Selon le communiqué, les informations diffusées par TFM ont créé une confusion, en attribuant à CIMAF des licenciements qui n’ont jamais eu lieu. Un reportage ultérieur de la chaîne, réalisé le lendemain avec les sociétés GISMAF et TECTRA, a tenté de clarifier la situation, mais une erreur de présentation a persisté : « La direction de TECTRA a été, à tort, identifiée comme celle de CIMAF », renforçant ainsi l’idée erronée que CIMAF était à l’origine des licenciements.
CIMAF précise que « ces personnes évoquées ne sont pas des employés de CIMAF, mais des salariés temporaires d’un prestataire sous-traitant », engagés pour un projet ponctuel, lié à la préparation du démarrage de son usine. À l’issue de cette mission, le sous-traitant a intégré une partie de ces travailleurs pour la phase d’exploitation et mis fin aux contrats des autres, conformément à un accord officiel signé avec l’Inspection du Travail. « Tous les employés ont été dûment indemnisés », souligne CIMAF.
L’entreprise, qui vient de démarrer ses activités au Sénégal, insiste sur le fait qu’elle est actuellement dans une « dynamique de création d’emplois durables » et non de licenciements. « CIMAF est engagée dans un processus de recrutement progressif, afin de soutenir la montée en puissance de ses opérations », indique le communiqué, rejetant toute idée de suppressions de postes.
CIMAF déplore « la diffusion d’informations inexactes et non vérifiées, susceptibles de porter atteinte à la réputation de notre entreprise et de semer la confusion auprès de l’opinion publique ». L’entreprise appelle les médias, à faire preuve de « rigueur, de responsabilité et de professionnalisme » dans le traitement de l’information.
CIMAF réaffirme son engagement, à « respecter strictement les lois en vigueur, à maintenir un climat social sain et à contribuer activement au développement économique et social du pays ». Cette mise au point intervient dans un contexte où l’entreprise cherche à asseoir sa présence sur le marché sénégalais, tout en évitant les malentendus qui pourraient freiner ses ambitions.
CIMAF précise que « ces personnes évoquées ne sont pas des employés de CIMAF, mais des salariés temporaires d’un prestataire sous-traitant », engagés pour un projet ponctuel, lié à la préparation du démarrage de son usine. À l’issue de cette mission, le sous-traitant a intégré une partie de ces travailleurs pour la phase d’exploitation et mis fin aux contrats des autres, conformément à un accord officiel signé avec l’Inspection du Travail. « Tous les employés ont été dûment indemnisés », souligne CIMAF.
L’entreprise, qui vient de démarrer ses activités au Sénégal, insiste sur le fait qu’elle est actuellement dans une « dynamique de création d’emplois durables » et non de licenciements. « CIMAF est engagée dans un processus de recrutement progressif, afin de soutenir la montée en puissance de ses opérations », indique le communiqué, rejetant toute idée de suppressions de postes.
CIMAF déplore « la diffusion d’informations inexactes et non vérifiées, susceptibles de porter atteinte à la réputation de notre entreprise et de semer la confusion auprès de l’opinion publique ». L’entreprise appelle les médias, à faire preuve de « rigueur, de responsabilité et de professionnalisme » dans le traitement de l’information.
CIMAF réaffirme son engagement, à « respecter strictement les lois en vigueur, à maintenir un climat social sain et à contribuer activement au développement économique et social du pays ». Cette mise au point intervient dans un contexte où l’entreprise cherche à asseoir sa présence sur le marché sénégalais, tout en évitant les malentendus qui pourraient freiner ses ambitions.