Cette chaine de télévision nationale a organisé l’émission «XEW XEX AK DIINE» animée par Monsieur Omar SECK sur le thème : «La Justice internationale».
Ont pris part à ce débat :
Monsieur Omar SECK, Animateur
Abdoul Aziz KEBE, Co-Animateur, ayant déjà participé à un panel aux côtés de la Raddho et donc résolument engagé contre le président Habré
Pr Samba THIAM Historien, agrégé d’histoire,
Monsieur Demba Ciré BATHILY Avocat des plaignants, avait été dénoncé par les avocats quand le Consul du Tchad à Dakar avait expliqué à des étudiants tchadiens que le fonds de 14 millions reçus du gouvernement tchadien au titre du financement de leurs activités culturelles et sportives, ont en fait été utilisés pour payer les honoraires de M Demba Ciré Bathily.
Me Mouhamed KEBE, Avocat des plaignants et donc contre le président Habré.
Moustapha KA, Procureur Général Adjoint des Chambres Africaines, contre aussi le Président Habré.
Au cours de ce débat, la RTS a adopté la posture d’un média de la haine à l'instar de la tristement célèbre "radio des milles collines" plongée dans une opération de lynchage médiatique contre le Président Hissein HABRE, non représenté et donc sans défense.
Est-il besoin de préciser que, fidèle à sa feuille de route de servitude, la RTS n'a jamais invité un seul des avocats du président Habré en 13 années de harcèlement judiciaire, démontrant de facto, les limites d'une liberté d'expression sur un dossier où le Droit et la Justice sont instrumentalisés pour des règlements de comptes politiques. Le rôle peu glorieux joué par les autorités de la République à travers les multiples combines de contournement et de détournement des décisions de justice en particulier et de l'Etat de Droit en général, à l'évidence, ne peut supporter un débat contradictoire.
Cette posture honteuse et déshonorante pour le service public audiovisuel qu'elle est censée représenter, est la preuve de l'existence de liens étroits et complices entre l'Etat du Sénégal et les Chambres africaines. La RTS vient encore une fois de confirmer ce que le président Wade avait dit -elle et de ses journalistes: "Ce sont des perroquets de service!", en l'espèce, confortablement installés dans cette fameuse "stratégie d'accompagnement" d'un Tribunal doté d'un budget de communication en un mot, de centaines de millions pour installer dans l'opinion "une présomption de culpabilité" d'un homme qu'on a pris le soin de faire taire, auparavant, en l'enlevant et en l'emprisonnant. Pour, chacun l'aura compris: "diffamer entre nous et tranquillement".
Le positionnement du principal média gouvernemental obéit, aussi, à des manœuvres de diversion politique à l'heure où les spectateurs sénégalais seraient plus intéressés par une table ronde sur le scandale du trafic de drogue dans les hautes sphères de la police, on fait diversion avec l'affaire Habre toujours exploitée cyniquement par l'élite politique pour détourner l'attention des sénégalais en attente toujours de solutions à leurs préoccupations majeures.
Chaque jour qui passe, l'opinion est édifiée par le procès politique à travers le financement du tribunal par les ennemis du Président Habre, mais aussi par le positionnement aveugle de l'Exécutif sénégalais violant les décisions de sa propre justice, par les ingérences des autorités gouvernementales qui chapeautent les chambres africaines- sénégalaises. L'opinion constate aussi le procès médiatique par l'enrôlement et le recrutement de journalistes, d'hommes politiques, pour envahir les plateaux de télévision et attaquer le Président Habré. Les pétrodollars de Deby constituent la principale source d'approvisionnement de la machine à tuer et à lyncher mise en place par la cellule de communication. Cette manne financière sert aussi à acheter des silences, là où des pressions ou coups de téléphone d'autorités de la République n'ont pas suffit.
Comme chacun peut le constater, Il s'agit pour le gouvernement de conditionner l'opinion, de la travailler, de la manipuler, de l'intoxiquer, pour passer en force, et exécuter son contrat de liquidation politique du président Habré. On est bien loin de la préoccupation d'apporter la preuve irréfutable des faits qu'on avance, on se contente simplement de manipuler l'opinion pour aller de l'avant dans le complot. C'est pourquoi, on a vu avec effarement, un procureur oublié qu'il avait la mission d'enquête à charge et à décharge. Tellement pressé d'exécuter ce qu'on lui avait demande de faire, qu'il en avait oublié de faire semblant!
L'affaire HH aura démontré à l'opinion internationale, l'affaissement des institutions politiques, et judiciaires du Sénégal par les félicitations bruyantes d'Idriss DEBY à son frère et ami Macky SALL. Des milliards pour le procès, des félicitations et une fête pour l'arrestation du président Habré; parfum de scandale, de complot, mais en aucun cas de justice..
L'affaire HH a mis à nu aussi la déliquescence d'une élite gangrenée par l'argent et qui tirent profit sans état d'âme et sans aucune conscience de tous les dossiers qui s'offrent à elle. Qu'il s'agisse du président Habré ou des dossiers brûlants de l'heure ou autres. C'est ainsi que lentement certains pays ont sombré.
SERVICE PRESSE
00221 77 536 29 67
Ont pris part à ce débat :
Monsieur Omar SECK, Animateur
Abdoul Aziz KEBE, Co-Animateur, ayant déjà participé à un panel aux côtés de la Raddho et donc résolument engagé contre le président Habré
Pr Samba THIAM Historien, agrégé d’histoire,
Monsieur Demba Ciré BATHILY Avocat des plaignants, avait été dénoncé par les avocats quand le Consul du Tchad à Dakar avait expliqué à des étudiants tchadiens que le fonds de 14 millions reçus du gouvernement tchadien au titre du financement de leurs activités culturelles et sportives, ont en fait été utilisés pour payer les honoraires de M Demba Ciré Bathily.
Me Mouhamed KEBE, Avocat des plaignants et donc contre le président Habré.
Moustapha KA, Procureur Général Adjoint des Chambres Africaines, contre aussi le Président Habré.
Au cours de ce débat, la RTS a adopté la posture d’un média de la haine à l'instar de la tristement célèbre "radio des milles collines" plongée dans une opération de lynchage médiatique contre le Président Hissein HABRE, non représenté et donc sans défense.
Est-il besoin de préciser que, fidèle à sa feuille de route de servitude, la RTS n'a jamais invité un seul des avocats du président Habré en 13 années de harcèlement judiciaire, démontrant de facto, les limites d'une liberté d'expression sur un dossier où le Droit et la Justice sont instrumentalisés pour des règlements de comptes politiques. Le rôle peu glorieux joué par les autorités de la République à travers les multiples combines de contournement et de détournement des décisions de justice en particulier et de l'Etat de Droit en général, à l'évidence, ne peut supporter un débat contradictoire.
Cette posture honteuse et déshonorante pour le service public audiovisuel qu'elle est censée représenter, est la preuve de l'existence de liens étroits et complices entre l'Etat du Sénégal et les Chambres africaines. La RTS vient encore une fois de confirmer ce que le président Wade avait dit -elle et de ses journalistes: "Ce sont des perroquets de service!", en l'espèce, confortablement installés dans cette fameuse "stratégie d'accompagnement" d'un Tribunal doté d'un budget de communication en un mot, de centaines de millions pour installer dans l'opinion "une présomption de culpabilité" d'un homme qu'on a pris le soin de faire taire, auparavant, en l'enlevant et en l'emprisonnant. Pour, chacun l'aura compris: "diffamer entre nous et tranquillement".
Le positionnement du principal média gouvernemental obéit, aussi, à des manœuvres de diversion politique à l'heure où les spectateurs sénégalais seraient plus intéressés par une table ronde sur le scandale du trafic de drogue dans les hautes sphères de la police, on fait diversion avec l'affaire Habre toujours exploitée cyniquement par l'élite politique pour détourner l'attention des sénégalais en attente toujours de solutions à leurs préoccupations majeures.
Chaque jour qui passe, l'opinion est édifiée par le procès politique à travers le financement du tribunal par les ennemis du Président Habre, mais aussi par le positionnement aveugle de l'Exécutif sénégalais violant les décisions de sa propre justice, par les ingérences des autorités gouvernementales qui chapeautent les chambres africaines- sénégalaises. L'opinion constate aussi le procès médiatique par l'enrôlement et le recrutement de journalistes, d'hommes politiques, pour envahir les plateaux de télévision et attaquer le Président Habré. Les pétrodollars de Deby constituent la principale source d'approvisionnement de la machine à tuer et à lyncher mise en place par la cellule de communication. Cette manne financière sert aussi à acheter des silences, là où des pressions ou coups de téléphone d'autorités de la République n'ont pas suffit.
Comme chacun peut le constater, Il s'agit pour le gouvernement de conditionner l'opinion, de la travailler, de la manipuler, de l'intoxiquer, pour passer en force, et exécuter son contrat de liquidation politique du président Habré. On est bien loin de la préoccupation d'apporter la preuve irréfutable des faits qu'on avance, on se contente simplement de manipuler l'opinion pour aller de l'avant dans le complot. C'est pourquoi, on a vu avec effarement, un procureur oublié qu'il avait la mission d'enquête à charge et à décharge. Tellement pressé d'exécuter ce qu'on lui avait demande de faire, qu'il en avait oublié de faire semblant!
L'affaire HH aura démontré à l'opinion internationale, l'affaissement des institutions politiques, et judiciaires du Sénégal par les félicitations bruyantes d'Idriss DEBY à son frère et ami Macky SALL. Des milliards pour le procès, des félicitations et une fête pour l'arrestation du président Habré; parfum de scandale, de complot, mais en aucun cas de justice..
L'affaire HH a mis à nu aussi la déliquescence d'une élite gangrenée par l'argent et qui tirent profit sans état d'âme et sans aucune conscience de tous les dossiers qui s'offrent à elle. Qu'il s'agisse du président Habré ou des dossiers brûlants de l'heure ou autres. C'est ainsi que lentement certains pays ont sombré.
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