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Il en profite également pour solliciter de tous les citoyens, ne relevant pas de son autorité directe mais consentant au moins à prendre en compte ses conseils, au premier chef desquels les acteurs politiques, de respecter la décision du Conseil Constitutionnel au jugement duquel ils avaient tous, au préalable, consenti à se soumettre. Sachant que tous avaient reconnu le caractère laïc des lois sénégalaise au même titre que les compétences dévolues par ces dernières à ladite institution. Si la nation, qui compte près de 95% de musulmans, était régie par d’autres types de lois, l’on aurait pu se référer entièrement à l’arbitrage d’une autorité religieuse. Le Calife invite donc tous les acteurs politiques, pouvoir et opposition, à discuter et de s’accorder de sorte à établir des fondements solides pour des élections apaisées et transparentes, comme il l’avait déjà déclaré durant ses dernières adresses.
Le Calife, à l’instar de tous ses illustres devanciers au Califat des mourides, rappelle à tous l’importance de se conformer aux règles d’équité, de justice et de bienfaisance enseignées par le Coran. De sorte à ce qu’une compétition saine et équitable leur permette éventuellement d’accéder au pouvoir de manière tout à fait pacifique, car tout pouvoir acquis dans la violence s’exercera infailliblement dans la violence. Une situation qui n’épargnera aucun sénégalais, de quelque bord ou sensibilité que ce soit.
Le Calife prie pour la paix et la prospérité de toute la nation.
Fait à Touba, le 28 Janvier 2012
Il en profite également pour solliciter de tous les citoyens, ne relevant pas de son autorité directe mais consentant au moins à prendre en compte ses conseils, au premier chef desquels les acteurs politiques, de respecter la décision du Conseil Constitutionnel au jugement duquel ils avaient tous, au préalable, consenti à se soumettre. Sachant que tous avaient reconnu le caractère laïc des lois sénégalaise au même titre que les compétences dévolues par ces dernières à ladite institution. Si la nation, qui compte près de 95% de musulmans, était régie par d’autres types de lois, l’on aurait pu se référer entièrement à l’arbitrage d’une autorité religieuse. Le Calife invite donc tous les acteurs politiques, pouvoir et opposition, à discuter et de s’accorder de sorte à établir des fondements solides pour des élections apaisées et transparentes, comme il l’avait déjà déclaré durant ses dernières adresses.
Le Calife, à l’instar de tous ses illustres devanciers au Califat des mourides, rappelle à tous l’importance de se conformer aux règles d’équité, de justice et de bienfaisance enseignées par le Coran. De sorte à ce qu’une compétition saine et équitable leur permette éventuellement d’accéder au pouvoir de manière tout à fait pacifique, car tout pouvoir acquis dans la violence s’exercera infailliblement dans la violence. Une situation qui n’épargnera aucun sénégalais, de quelque bord ou sensibilité que ce soit.
Le Calife prie pour la paix et la prospérité de toute la nation.
Fait à Touba, le 28 Janvier 2012