Le candidat de Bennoo siggil Sénégaal, Moustapha Niasse a décliné hier, lors d’une conférence de presse, dans un hôtel de la place, ses douze engagements face au peuple sénégalais. Ces points du programme de Bennoo Siggil Senegaal seront portés, dit-il, à la connaissance des populations. Parmi ces engagements pour 2012, l’on peut retenir, entre autres, cette volonté de rendre la filière agricole aux paysans Sénégalais ; diminuer le train de vie de l’Etat, en supprimant le Sénat et le nombre de ministres à maximum 25 ; promouvoir une politique cohérente d’aménagement du territoire et décentralisation. A cela s’ajoutent la diplomatie de développement, la maîtrise durable des mécanismes d’une bonne politique d’approvisionnement en hydrocarbures, et la hausse les salaires des fonctionnaires des zones rurales.
En plus de ces promesses, le candidat de Bennoo Siggil Senegaal compte développer une politique de transparente et efficace dans la gestion des questions qui touchent directement ou indirectement les Sénégalais de la diaspora. C’est dans ce sillage Moustapha Niasse fustige la tuerie de Florence en Italie. « Le Sénégal à l’obligation de tout entreprendre pour assurer la protection de ses ressortissants, où qu’ils se trouvent dans le monde et faire en sorte qu’ils se soient plus livrés à des comportements violents et destructeurs ». Il estime que le dossier doit être géré et suivi avec la plus grande attention. Sur un autre registre, le candidat de Bennoo soutient que les Sénégalais devront être autorisés à importer au Sénégal des véhicules sans spécification précise de leur âge. L’essentiel, selon toujours le « Progressiste », « est que ces véhicules répondent aux normes de contrôle technique, de sécurité et de protection de l’environnement ».
Le candidat de Bennoo siggil Sénégaal s’est aussi prononcé sur le problème de la Casamance. Il renseigne que dés les premiers jours de l’installation du pouvoir nouveau, le dossier Casamançais sera repris en main par son gouvernement. « Nous entendons le faire par le dialogue et la concertation, dans un esprit ouvert. C’est le moment de regretter et de condamner le blocage qui subit ce dossier, de la part du pouvoir en place pour des raisons politiciennes », informe le progressiste.
Moustapha Niasse est revenu sur sa candidature. « Ma candidature n’est pas le fruit d’une ambition individuelle, mais bien la résultante d’un effort concerté de construction collective de forces politiques et citoyennes. Sans aucun doute, la coalition de Bennoo ne peut perdre de vue que les derniers événements survenus en son sein, ont pu décevoir plus d’un. Aucun des partis ici présents n’a voulu s’engager dans une quelconque polémique ». Il informe aussi que Bennoo est interpellé par de multiples défis. « Il nous faut par notre engagement renforcer, affirmer notre détermination à mettre en œuvre le programme inspiré des travaux des Assises nationales et faire en sorte que notre pays retrouve toutes les vertus qui ont fondé son image dans le monde », a laissé entendre Moustapha Niasse. C’est la raison pour laquelle « nous tenons à confirmer notre ancrage dans le processus des réformes proposées par les Assises nationales », martèle-t-il. Avant d’ajouter « qu’il urge d’en finir avec les turpitudes d’un pouvoir qui n’a de cesse depuis plus de dix ans de ruiner le capital de crédibilité du Sénégal ». Le candidat de Bennoo, rappelle que le combat que la coalition est exaltant. « Nous devons organiser ce combat et en maitriser le déroulement pour réussir par l’action et par la concertation », affirme-t-il.
Concernant le président sortant, Moustapha Niasse déclare sans vouloir le nommer qu’il ne néglige rien pour bloquer le fonctionnement du processus électoral « par la corruption, l’achat des consciences, la manipulation de l’administration en passant par la campagne électorale déguisée qui se déroule sous les couleurs et avec le prétexte d’inaugurations répétées ».
Le « Progressiste » a aussi rappelé que Bennoo « tend à réaffirmer son ouverture vers tous autres acteurs politiques, vers les acteurs de la société civile, les militants des droits de l’homme ». C’est sans doute ce qui explique la présente de plusieurs partis membres de Bennoo. Entre autre, nous pouvons citer Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily qui est le président du directoire de campagne de Bennoo, Momar Samb, Robert Sagna, Madior Diouf. Il y avait aussi la présence des membres du Mouvement citoyen, en l’occurrence Penda Mbow,
Sud Quotidien
PiccMi.Com - La Rédaction
En plus de ces promesses, le candidat de Bennoo Siggil Senegaal compte développer une politique de transparente et efficace dans la gestion des questions qui touchent directement ou indirectement les Sénégalais de la diaspora. C’est dans ce sillage Moustapha Niasse fustige la tuerie de Florence en Italie. « Le Sénégal à l’obligation de tout entreprendre pour assurer la protection de ses ressortissants, où qu’ils se trouvent dans le monde et faire en sorte qu’ils se soient plus livrés à des comportements violents et destructeurs ». Il estime que le dossier doit être géré et suivi avec la plus grande attention. Sur un autre registre, le candidat de Bennoo soutient que les Sénégalais devront être autorisés à importer au Sénégal des véhicules sans spécification précise de leur âge. L’essentiel, selon toujours le « Progressiste », « est que ces véhicules répondent aux normes de contrôle technique, de sécurité et de protection de l’environnement ».
Le candidat de Bennoo siggil Sénégaal s’est aussi prononcé sur le problème de la Casamance. Il renseigne que dés les premiers jours de l’installation du pouvoir nouveau, le dossier Casamançais sera repris en main par son gouvernement. « Nous entendons le faire par le dialogue et la concertation, dans un esprit ouvert. C’est le moment de regretter et de condamner le blocage qui subit ce dossier, de la part du pouvoir en place pour des raisons politiciennes », informe le progressiste.
Moustapha Niasse est revenu sur sa candidature. « Ma candidature n’est pas le fruit d’une ambition individuelle, mais bien la résultante d’un effort concerté de construction collective de forces politiques et citoyennes. Sans aucun doute, la coalition de Bennoo ne peut perdre de vue que les derniers événements survenus en son sein, ont pu décevoir plus d’un. Aucun des partis ici présents n’a voulu s’engager dans une quelconque polémique ». Il informe aussi que Bennoo est interpellé par de multiples défis. « Il nous faut par notre engagement renforcer, affirmer notre détermination à mettre en œuvre le programme inspiré des travaux des Assises nationales et faire en sorte que notre pays retrouve toutes les vertus qui ont fondé son image dans le monde », a laissé entendre Moustapha Niasse. C’est la raison pour laquelle « nous tenons à confirmer notre ancrage dans le processus des réformes proposées par les Assises nationales », martèle-t-il. Avant d’ajouter « qu’il urge d’en finir avec les turpitudes d’un pouvoir qui n’a de cesse depuis plus de dix ans de ruiner le capital de crédibilité du Sénégal ». Le candidat de Bennoo, rappelle que le combat que la coalition est exaltant. « Nous devons organiser ce combat et en maitriser le déroulement pour réussir par l’action et par la concertation », affirme-t-il.
Concernant le président sortant, Moustapha Niasse déclare sans vouloir le nommer qu’il ne néglige rien pour bloquer le fonctionnement du processus électoral « par la corruption, l’achat des consciences, la manipulation de l’administration en passant par la campagne électorale déguisée qui se déroule sous les couleurs et avec le prétexte d’inaugurations répétées ».
Le « Progressiste » a aussi rappelé que Bennoo « tend à réaffirmer son ouverture vers tous autres acteurs politiques, vers les acteurs de la société civile, les militants des droits de l’homme ». C’est sans doute ce qui explique la présente de plusieurs partis membres de Bennoo. Entre autre, nous pouvons citer Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily qui est le président du directoire de campagne de Bennoo, Momar Samb, Robert Sagna, Madior Diouf. Il y avait aussi la présence des membres du Mouvement citoyen, en l’occurrence Penda Mbow,
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