« Je ne veux pas m’afficher à la télévision, encore moins, trouver du personnel de votre radio qui risque de me reconnaitre. Aussi, vous ai-je demandé de venir me voir chez moi. Mon objectif n’est pas d’exposer ma fille mais, de la faire changer de comportement, via votre émission. C’est pourquoi, j’ai requis l’anonymat. C’est une souffrance extrême que ma seule fille me fait subir, avec son mari. En effet, ce dernier, n’ayant pas beaucoup de moyen, avait demandé à venir vivre à la maison, le temps de réorganiser sa vie. Ce que j’ai accepté, pour le bonheur de mon enfant qui n’a pratiquement pas connu son père et retrouvait cet amour paternel auprès de son mari.
Mais, ceci est le plus grand regret de ma vie, parce que le couple en question ne m’a pas rendu la monnaie de ma pièce. Chez moi, mon beau-fils me traite de tous les noms d’oiseaux, allant même jusqu’à me priver de nourriture, en complicité avec son épouse, sous prétexte que je suis un «deum» (anthropophage). Aujourd’hui, je n’en peux plus et j’ai peur que mes fils soient au courant et les jettent dehors. On dira que j’ai détruit son ménage. Pis, elle me menace, prétendant que la maison appartenait à son père et qu’elle mieux placée pour me mettre à la porte.
Quand je pense à la recommandation de son père me demandant de ne pas vendre la maison…. Et même si s’était le cas, son mari se chargerait de dilapider sa fortune, avent de la laisser seule, dans la souffrance».
Cette mère en détresse est toujours en quête de solution. Sa fille, interpellée, confiera être sous les ordres de son époux. «Je suis amoureuse de mon mari et nous partageons tout ce que nous avons, ma maison y compris», nous a-t-elle dit, au téléphone, avant de nous raccrocher au nez.
Yandé Diop (Synthèse)
REWMI QUOTIDIEN
Mais, ceci est le plus grand regret de ma vie, parce que le couple en question ne m’a pas rendu la monnaie de ma pièce. Chez moi, mon beau-fils me traite de tous les noms d’oiseaux, allant même jusqu’à me priver de nourriture, en complicité avec son épouse, sous prétexte que je suis un «deum» (anthropophage). Aujourd’hui, je n’en peux plus et j’ai peur que mes fils soient au courant et les jettent dehors. On dira que j’ai détruit son ménage. Pis, elle me menace, prétendant que la maison appartenait à son père et qu’elle mieux placée pour me mettre à la porte.
Quand je pense à la recommandation de son père me demandant de ne pas vendre la maison…. Et même si s’était le cas, son mari se chargerait de dilapider sa fortune, avent de la laisser seule, dans la souffrance».
Cette mère en détresse est toujours en quête de solution. Sa fille, interpellée, confiera être sous les ordres de son époux. «Je suis amoureuse de mon mari et nous partageons tout ce que nous avons, ma maison y compris», nous a-t-elle dit, au téléphone, avant de nous raccrocher au nez.
Yandé Diop (Synthèse)
REWMI QUOTIDIEN