Agir «autrement dans la transparence hors des remous sociaux» à travers «une plate forme d’échange, de contribution de style nouveau face aux tracasseries de la Senelec». Le pari lancé par le Front national de riposte contre les dérives et abus de la Senelec intervient au lendemain de l’entrée en vigueur de la nouvelle tarification imposée par la société d’électricité et marquée par une «hausse vertigineuse» des prix du kilowatt. Le mémorandum rendu public hier par le Fnrc/Das et daté du 16 octobre 2008 pose les jalons d’une «lutte citoyenne et participative qui n’accepte plus la reconduction des erreurs du passé de la Senelec au détriment du peuple».
ImageAinsi que son nom l’indique, le Fnrc/Das s’annonce comme une réponse populaire, une unité d’action conçue par les populations, associations de quartier des entrailles de Dakar et de sa banlieue et de «jeunes de toutes les régions du Sénégal». Dans l’objectif de mettre un terme aux «souffrances» du peuple en termes de distribution d’électricité, sa démarche consistera certes à «faire face à la Senelec dans la sérénité, la discipline», mais il est question également, note le mémorandum, de préserver «nos droits et obligations en tant que citoyens responsables».
Face aux protestations violentes survenues à Dakar, il y a quelques jours, le Front national de riposte, «cadre représentatif au niveau national», veut «amenuiser et recadrer l’élan de manifestation colérique que le peuple sénégalais envisageait face aux délestages, dérives, abus de la Senelec» à travers des «actions stratégiques pacifiques». Selon le Fnrc/Das, «l’angoisse énergétique» qui frappe les Sénégalais est la résultante de la «gabegie managériale et financière» qui fait office de gestion à la Senelec, et décriée par les experts et observateurs avertis des tribulations de la société nationale d’électricité.
source le quotidien
ImageAinsi que son nom l’indique, le Fnrc/Das s’annonce comme une réponse populaire, une unité d’action conçue par les populations, associations de quartier des entrailles de Dakar et de sa banlieue et de «jeunes de toutes les régions du Sénégal». Dans l’objectif de mettre un terme aux «souffrances» du peuple en termes de distribution d’électricité, sa démarche consistera certes à «faire face à la Senelec dans la sérénité, la discipline», mais il est question également, note le mémorandum, de préserver «nos droits et obligations en tant que citoyens responsables».
Face aux protestations violentes survenues à Dakar, il y a quelques jours, le Front national de riposte, «cadre représentatif au niveau national», veut «amenuiser et recadrer l’élan de manifestation colérique que le peuple sénégalais envisageait face aux délestages, dérives, abus de la Senelec» à travers des «actions stratégiques pacifiques». Selon le Fnrc/Das, «l’angoisse énergétique» qui frappe les Sénégalais est la résultante de la «gabegie managériale et financière» qui fait office de gestion à la Senelec, et décriée par les experts et observateurs avertis des tribulations de la société nationale d’électricité.
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