C'est donc le moment pour chacun de nous, hors des querelles crypto personnelles, des suspicions injustifiées et souvent des diffamations, de prendre conscience de l’importance de l’enjeu et du sérieux du moment dans le choix des hommes comme dans les propositions de programme de construction nationale en tenant compte de la mondialisation.
Le Sénégal s’apprête donc à vivre l’un des moments les plus graves de son histoire politique eu égard aux enjeux sans précédent suscités par les échéances électorales de 2012.
Il s’agira pour notre peuple de faire preuve de discernement plus que jamais pour désigner l’homme qui va présider aux destinées de notre nation. Nous sommes à la croisée des chemins entre une génération finissante qui a donné tout ce qu’elle pouvait à sa patrie et une génération nouvelle, porteuse de nouveaux idéaux fondés sur l’éthique et la responsabilité, apte à répondre aux exigences du monde nouveau.
En politique les apparences semblent plus essentielles que la réalité et à l’adversaire il faut tailler un manteau adéquat fait de discrédit, de calomnies et d’invectives. Ce faisant, les adeptes de Machiavel peuvent à dessein et chaque fois que de besoin faire paraître noir ce qui est tout blanc.
Pour autant, à tout responsable se pose alors la question fondamentale de savoir ce que vaut une décision de justice au Sénégal.
En effet, monsieur Idrissa SECK, après avoir été jeté en pâture aux éléments de la DIC qui ont fouillé sans complaisance et parfois même avec zèle les coins et les recoins de sa vie, celle de sa famille et de son entourage en vain, emprisonné à Rebeuss, et trainé devant les plus hauts tribunaux du pays, a fini par ne même pas attendre l’extinction du soleil pour disposer d’un non lieu total sur tous les faits qui lui étaient reprochés.
Malgré cela la campagne de dénigrement continue.
Par respect pour l’autorité de la chose jugée et par respect pour nos magistrats qui ont fait le serment de rendre la Justice, dans leur intime conviction et dans le Droit, je dis : arrêtons !
Sinon, que penser de la Justice de notre pays ?
Est ce que nous pouvons ,sous prétexte que nous sommes en politique, laisser n’importe qui porter n’importe quoi sur son adversaire dans l’unique but de le diaboliser aux yeux de l’opinion nationale et même internationale ?
Les multiples diffamations dont il fait l’objet constituent sans aucun doute la dernière stratégie brandie par ses détracteurs pour le déstabiliser et l’empêcher de se pencher sur les vraies questions de l’heure.
Au-delà des frontières partisanes et seulement au nom de la citoyenneté, il urge de revenir au fondamental et d’offrir au sénégalais toutes les chances de choisir, sans discrimination aucune, parmi ses meilleurs fils, celui qui est le plus apte pour opérer la rupture souhaitée et réellement conduire notre pays vers l’horizon de démocratie et de progrès auquel nous aspirons toujours.
Il me semble impossible de faire du neuf avec du vieux et pour que l’Alternance se fasse il faut une prise de conscience collective des acteurs de la nouvelle génération par la réalisation de la convergence générationnelle , seule condition pour mutualiser les forces et opérer les changements de fond dont notre nation a fortement besoin.
Au vu des statistiques de 2007 et du charisme dont il est crédité, Idrissa SECK apparaît comme l’alternative la plus probable pour mettre toutes les chances du coté du changement toujours souhaité.
Il faut une mobilisation sans faille de toutes les forces vives de la nation pour faire barrière à toute forme de dévolution monarchique du pouvoir qui serait contraire à notre histoire politique ponctuée d’avancées obtenues de haute lutte menée par des sénégalaises et des sénégalais qui rêvaient d’une république où l’égalité des chances entre les citoyens est plus qu’un slogan une réalité.
La balle est désormais dans le camp du peuple qui par une prise de conscience de notre véritable intérêt national se donnera les moyens de choisir librement le destin qu’il se souhaite et de voir au-delà de l’arbre cynique la belle forêt.
Si l’Amérique a pu le faire avec Barak OBAMA, nous aussi le pouvons si nous le voulons réellement au Sénégal.
Docteur Moustapha LO,
Responsable politique de Ex REWMI
Responsable PDS
LOUGA
Le Sénégal s’apprête donc à vivre l’un des moments les plus graves de son histoire politique eu égard aux enjeux sans précédent suscités par les échéances électorales de 2012.
Il s’agira pour notre peuple de faire preuve de discernement plus que jamais pour désigner l’homme qui va présider aux destinées de notre nation. Nous sommes à la croisée des chemins entre une génération finissante qui a donné tout ce qu’elle pouvait à sa patrie et une génération nouvelle, porteuse de nouveaux idéaux fondés sur l’éthique et la responsabilité, apte à répondre aux exigences du monde nouveau.
En politique les apparences semblent plus essentielles que la réalité et à l’adversaire il faut tailler un manteau adéquat fait de discrédit, de calomnies et d’invectives. Ce faisant, les adeptes de Machiavel peuvent à dessein et chaque fois que de besoin faire paraître noir ce qui est tout blanc.
Pour autant, à tout responsable se pose alors la question fondamentale de savoir ce que vaut une décision de justice au Sénégal.
En effet, monsieur Idrissa SECK, après avoir été jeté en pâture aux éléments de la DIC qui ont fouillé sans complaisance et parfois même avec zèle les coins et les recoins de sa vie, celle de sa famille et de son entourage en vain, emprisonné à Rebeuss, et trainé devant les plus hauts tribunaux du pays, a fini par ne même pas attendre l’extinction du soleil pour disposer d’un non lieu total sur tous les faits qui lui étaient reprochés.
Malgré cela la campagne de dénigrement continue.
Par respect pour l’autorité de la chose jugée et par respect pour nos magistrats qui ont fait le serment de rendre la Justice, dans leur intime conviction et dans le Droit, je dis : arrêtons !
Sinon, que penser de la Justice de notre pays ?
Est ce que nous pouvons ,sous prétexte que nous sommes en politique, laisser n’importe qui porter n’importe quoi sur son adversaire dans l’unique but de le diaboliser aux yeux de l’opinion nationale et même internationale ?
Les multiples diffamations dont il fait l’objet constituent sans aucun doute la dernière stratégie brandie par ses détracteurs pour le déstabiliser et l’empêcher de se pencher sur les vraies questions de l’heure.
Au-delà des frontières partisanes et seulement au nom de la citoyenneté, il urge de revenir au fondamental et d’offrir au sénégalais toutes les chances de choisir, sans discrimination aucune, parmi ses meilleurs fils, celui qui est le plus apte pour opérer la rupture souhaitée et réellement conduire notre pays vers l’horizon de démocratie et de progrès auquel nous aspirons toujours.
Il me semble impossible de faire du neuf avec du vieux et pour que l’Alternance se fasse il faut une prise de conscience collective des acteurs de la nouvelle génération par la réalisation de la convergence générationnelle , seule condition pour mutualiser les forces et opérer les changements de fond dont notre nation a fortement besoin.
Au vu des statistiques de 2007 et du charisme dont il est crédité, Idrissa SECK apparaît comme l’alternative la plus probable pour mettre toutes les chances du coté du changement toujours souhaité.
Il faut une mobilisation sans faille de toutes les forces vives de la nation pour faire barrière à toute forme de dévolution monarchique du pouvoir qui serait contraire à notre histoire politique ponctuée d’avancées obtenues de haute lutte menée par des sénégalaises et des sénégalais qui rêvaient d’une république où l’égalité des chances entre les citoyens est plus qu’un slogan une réalité.
La balle est désormais dans le camp du peuple qui par une prise de conscience de notre véritable intérêt national se donnera les moyens de choisir librement le destin qu’il se souhaite et de voir au-delà de l’arbre cynique la belle forêt.
Si l’Amérique a pu le faire avec Barak OBAMA, nous aussi le pouvons si nous le voulons réellement au Sénégal.
Docteur Moustapha LO,
Responsable politique de Ex REWMI
Responsable PDS
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