En effet suite à la parution dans les colonnes du journal « Le Quotidien », d’un article faisant état d’une proposition qui devait permettre au « maire » d’acheter une voiture d’une valeur de 35 millions, Barthélémy Dias a envoyé des sommations interpellatives à Amadou Moustapha Guèye et au journaliste en question.
COUPS DE POINGS ET INSULTES: Barthélémy Dias distribue menaces et grossièretés à tout-va
Le sieur Guèye étant présent sur les lieux, c’est en direct qu’il recevra la sommation. Après avoir reçu le document, ce dernier prend acte et confie qu’il va consulter son avocat. « Témoins privilégiés », les journalistes décident de prendre la réaction de Mamadou Moustapha Guèye. Imperturbable, ce dernier explique : « vous êtes témoins. Cela prouve que Mr Dias n’est pas disposé à faire un travail clair au niveau de cette mairie. Il ne vient même pas de commencer et il fait des gamineries. Il se retourne contre ceux qui se sont opposés à sa volonté pour les assigner devant le juge et les intimider. Je confirme tout ce que j’ai dit. Il faudra qu’il nous passe sur le corps… ». A la surprise générale, un garde du corps de Barthélémy Dias surgit de nulle part : « Dafay fen » (il ment). Comme s’ils avaient reçu un ordre, les autres gardes du corps se ruent sur Mamadou Moustapha Guèye. Ce qui suit se passe de commentaire.
Mamadou Moustapha Guèye : « Kou Fi wakh wakhou pith niou K… sa ndèye »
Toujours zen, Mamadou Guèye tente de sortir de « l’étau » des gardes du corps. Les insultes fusent de partout. « Damay k… sa ndèye. Fo amé information yi » (insulte de mère, où as-tu pris ces informations ? ). Un autre de reprendre « damalay nokh » (je vais te donner une correction). Après l’avoir copieusement insulté, un autre de passer à la vitesse supérieure. Il empoigne le vieux Guèye et le plaque contre le mur. Les amis de Mamadou Moustapha Gueye tentent de riposter mais c’est peine perdue. D’autres nervis viennent en « renforts ». Atteint, affaibli et malmené, Guèye « échappe » à ses agresseurs avec l’aide de ses amis. Barthélémy Dias, qui suivait la scène d’une fenêtre, rappelle ses gars à l’intérieur et leur somme : « Kou fi wakh wakhou pith niou K… Ndème mou guene si biti » (« dégagez tous ceux qui raconteront des balivernes », leur dit-il, l’insulte à la bouche). Ce devant son assistante, Oulimatou qui prend la balle au rebond « fenkat la » (c’est un menteur). Avant de se mettre, elle aussi à insulter de mère ceux qui ne pensent pas comme son « patron ».
Oulimata, assistante de Barthélémy se transforme en boxeuse
Alors que le gong pour le ring des hommes venait de retentir, l’assistante de Barthélémy, vulgaire et insolente, continue de plus belle à insulter. Ne pouvant plus supporter les insultes de Oulimata, une dame répondant au nom de Sadio se lève et prend la défense du vieux Guèye : « Ce qu’a dit le vieux Guèye est vrai. Il faut être poli ». Oulimata se rue alors sur la dame et lui asséne des coups de poings. Les deux femmes se battent comme des boxeuses. Un des coups de Oulimata atterrit sur l’arcade sourcilière de Sadio. Touchée elle se replie, Oulimatou se tord de douleur. Sa main droite est enflée. Elle se réfugie dans les locaux de la Mairie. Quant à Sadio qui n’en revenait toujours pas, elle refuse de dire son dernier mot, attendant dehors l’assistante particulière.
Cinq éléments de la police débarquent et disparaissent quelques minutes plus tard
L’atmosphère étant très tendue, Cheikh Khalifa Mbengue membre de l’AFP, appelle la police. Les forces de l’ordre se pointent sur les lieux et se dirigent dans le bureau du maire. Quand ils le rencontrent enfin, ils l’interpellent : « est-ce qu’il y a un problème ici ? » Le sourire aux lèvres, le maire répond : « non ! il n’y a rien ici ». Avant de remonter dans la salle. La police rebrousse chemin, le plus normalement du monde.
M. M. et S.T
Source: L'as
COUPS DE POINGS ET INSULTES: Barthélémy Dias distribue menaces et grossièretés à tout-va
Le sieur Guèye étant présent sur les lieux, c’est en direct qu’il recevra la sommation. Après avoir reçu le document, ce dernier prend acte et confie qu’il va consulter son avocat. « Témoins privilégiés », les journalistes décident de prendre la réaction de Mamadou Moustapha Guèye. Imperturbable, ce dernier explique : « vous êtes témoins. Cela prouve que Mr Dias n’est pas disposé à faire un travail clair au niveau de cette mairie. Il ne vient même pas de commencer et il fait des gamineries. Il se retourne contre ceux qui se sont opposés à sa volonté pour les assigner devant le juge et les intimider. Je confirme tout ce que j’ai dit. Il faudra qu’il nous passe sur le corps… ». A la surprise générale, un garde du corps de Barthélémy Dias surgit de nulle part : « Dafay fen » (il ment). Comme s’ils avaient reçu un ordre, les autres gardes du corps se ruent sur Mamadou Moustapha Guèye. Ce qui suit se passe de commentaire.
Mamadou Moustapha Guèye : « Kou Fi wakh wakhou pith niou K… sa ndèye »
Toujours zen, Mamadou Guèye tente de sortir de « l’étau » des gardes du corps. Les insultes fusent de partout. « Damay k… sa ndèye. Fo amé information yi » (insulte de mère, où as-tu pris ces informations ? ). Un autre de reprendre « damalay nokh » (je vais te donner une correction). Après l’avoir copieusement insulté, un autre de passer à la vitesse supérieure. Il empoigne le vieux Guèye et le plaque contre le mur. Les amis de Mamadou Moustapha Gueye tentent de riposter mais c’est peine perdue. D’autres nervis viennent en « renforts ». Atteint, affaibli et malmené, Guèye « échappe » à ses agresseurs avec l’aide de ses amis. Barthélémy Dias, qui suivait la scène d’une fenêtre, rappelle ses gars à l’intérieur et leur somme : « Kou fi wakh wakhou pith niou K… Ndème mou guene si biti » (« dégagez tous ceux qui raconteront des balivernes », leur dit-il, l’insulte à la bouche). Ce devant son assistante, Oulimatou qui prend la balle au rebond « fenkat la » (c’est un menteur). Avant de se mettre, elle aussi à insulter de mère ceux qui ne pensent pas comme son « patron ».
Oulimata, assistante de Barthélémy se transforme en boxeuse
Alors que le gong pour le ring des hommes venait de retentir, l’assistante de Barthélémy, vulgaire et insolente, continue de plus belle à insulter. Ne pouvant plus supporter les insultes de Oulimata, une dame répondant au nom de Sadio se lève et prend la défense du vieux Guèye : « Ce qu’a dit le vieux Guèye est vrai. Il faut être poli ». Oulimata se rue alors sur la dame et lui asséne des coups de poings. Les deux femmes se battent comme des boxeuses. Un des coups de Oulimata atterrit sur l’arcade sourcilière de Sadio. Touchée elle se replie, Oulimatou se tord de douleur. Sa main droite est enflée. Elle se réfugie dans les locaux de la Mairie. Quant à Sadio qui n’en revenait toujours pas, elle refuse de dire son dernier mot, attendant dehors l’assistante particulière.
Cinq éléments de la police débarquent et disparaissent quelques minutes plus tard
L’atmosphère étant très tendue, Cheikh Khalifa Mbengue membre de l’AFP, appelle la police. Les forces de l’ordre se pointent sur les lieux et se dirigent dans le bureau du maire. Quand ils le rencontrent enfin, ils l’interpellent : « est-ce qu’il y a un problème ici ? » Le sourire aux lèvres, le maire répond : « non ! il n’y a rien ici ». Avant de remonter dans la salle. La police rebrousse chemin, le plus normalement du monde.
M. M. et S.T
Source: L'as