Cette commission regroupant l’ensemble des acteurs du processus électoral (les ministères concernés, les juridictions, les organes de contrôle et de régulation, les coalitions de partis politiques et les organisations de la société civile) est parvenue, après des semaines de concertation, à s’accorder sur plusieurs réformes dont l’utilisation du bulletin unique. C’est ainsi que dans le rapport final remis officiellement au Chef de l’Etat, ce consensus a été magnifié en ces termes : « la révolution, c’est l’adoption unanime de l’utilisation du bulletin unique de vote avec tirage au sort pour déterminer la position des candidats ou liste des candidats sur ledit bulletin. Les bulletins seront sécurisés et leurs dimensions ainsi que celles des photos des candidats seront déterminées par arrêté du Ministre chargé des Elections. »
Il s’y ajoute que ce système, appliqué dans nombre de pays, notamment africain (Cap Vert, Bénin, Mauritanie, Guinée, Mali, RDC…) permet non seulement de faire des économies substantielles sur le budget des élections, mais également d’avoir une réduction sur la durée du vote de l’ électeur eu égard au nombre de candidats de plus en plus important.
Dès lors, le refus du Gouvernement d’entériner ce consensus de la classe politique est inacceptable. Car cela ne participe nullement à lever les suspicions sur le processus électoral et dénote déjà d’une volonté affichée de fausser les règles du jeu démocratique et de créer un autre contentieux qui pèsera lourdement de manière négative sur le processus électoral.
A cause de ces impacts négatifs prévisibles sur le processus électoral et la stabilité politique et sociale du pays, CLARTE Dey Leer invite les représentants du peuple à prendre leurs responsabilités afin d’asseoir les bonnes règles devant garantir des élections régulières, libres et transparentes. Pour ce faire, il est nécessaire de traduire en loi électoral toutes les propositions issues des travaux de la commission de revue du code électoral, y compris le bulletin unique, comme ce fut le cas en 1992.
CLARTE Dey Leer appelle le peuple à être vigilant et à se mobiliser au besoin pour exiger le respect des règles du jeu démocratique et de la transparence du processus électoral.
Par ailleurs, CLARTE Dey Leer demande aux électeurs d’aller retirer leurs cartes d’électeur auprès des commissions de distributions dans les circonscriptions administratives de leurs localités installées dans les communes, communes d’arrondissement et communautés rurales.
Il s’y ajoute que ce système, appliqué dans nombre de pays, notamment africain (Cap Vert, Bénin, Mauritanie, Guinée, Mali, RDC…) permet non seulement de faire des économies substantielles sur le budget des élections, mais également d’avoir une réduction sur la durée du vote de l’ électeur eu égard au nombre de candidats de plus en plus important.
Dès lors, le refus du Gouvernement d’entériner ce consensus de la classe politique est inacceptable. Car cela ne participe nullement à lever les suspicions sur le processus électoral et dénote déjà d’une volonté affichée de fausser les règles du jeu démocratique et de créer un autre contentieux qui pèsera lourdement de manière négative sur le processus électoral.
A cause de ces impacts négatifs prévisibles sur le processus électoral et la stabilité politique et sociale du pays, CLARTE Dey Leer invite les représentants du peuple à prendre leurs responsabilités afin d’asseoir les bonnes règles devant garantir des élections régulières, libres et transparentes. Pour ce faire, il est nécessaire de traduire en loi électoral toutes les propositions issues des travaux de la commission de revue du code électoral, y compris le bulletin unique, comme ce fut le cas en 1992.
CLARTE Dey Leer appelle le peuple à être vigilant et à se mobiliser au besoin pour exiger le respect des règles du jeu démocratique et de la transparence du processus électoral.
Par ailleurs, CLARTE Dey Leer demande aux électeurs d’aller retirer leurs cartes d’électeur auprès des commissions de distributions dans les circonscriptions administratives de leurs localités installées dans les communes, communes d’arrondissement et communautés rurales.