Le ministre des transports aériens Abib Sy n'a pas mis de gangs pour démentir les informations distillées dans la presse concernant les errements sur l'organisation du pèlerinage à la Mecque. « Ce qui s'est passé, c'est juste deux dysfonctionnements mineurs, qui ont entraîné un retard d'un jour. Et que Zam Zam transportera le reste des pèlerins avant le 30 novembre », a déclaré le ministre.
« Je ne cherche qu'à rétablir la vérité des faits, pour éclairer l'opinion sur toutes les sortes de rumeurs qu'on a entendus tous ces derniers temps, sur l'avion devant affréter les pèlerins. Nous avons choisi Zam Zam, parce qu'elle nous a proposé 1 300 000, là où Air Sénégal international (Asi) offrait 1 650 000. Il y avait donc une différence de 350 000 »,
Revenant sur la signature des négociations avec Zam Zam, le ministre a rejeté toute insécurité et précise: «Avant de signer le contrat, nous avons pris le soin de procéder au contrôle documentaire d'un Dc10 pour lequel les papiers nous ont été présentés. Les experts ont procédé pendant trois jours aux vérifications documentaires, sur le site de la Nas, qui est la deuxième compagnie saoudienne ». Mais comme le contrôle documentaire seul ne suffit pas, « une deuxième mission a été effectuée à Jeddah, où l'avion a été physiquement présenté aux experts. Ils ont fait des vérifications sur la traçabilité de l'avion sur les 9 dernières années, tout ce qui a été fait comme réparations, est ce que ces réparations ont été conformes aux normes du constructeur ». Ce qui avait permis aux experts d'avoir une revue documentaire de l'avion. Mais, « il restait un seul document qui n'avait pas été fourni et qui était disponible en Afrique du Sud. On leur a dit si vous ne donnez pas ce document, on ne peut pas garantir la sécurité de faire voyager cet avion chez nous », souligne le ministre. Chose qui a été finalement faite, avec la partie saoudienne, qui est parti en Afrique du Sud récupérer le document en question et rattraper les experts du Sénégal en Tunisie, pour le leur remettre. Après vérification faite, ce document était conforme ». Ce n'est donc qu'au terme de tout ce processus, que les experts ont produit un rapport, pour confirmer que, « l'avion est conforme aux normes de sécurité pour transporter les pèlerins sénégalais », selon Abib Sy.
Le ministre a aussi expliqué les deux incidents connus par l'avion. « Au premier vol, nous avons constaté un dysfonctionnement. C'était dû par un problème de climatisation et de température. Au troisième vol, c'était un simple problème de démarreur ». Pour lui, toutes ces informations sous le compte de rumeurs. Car, « rien n'est vrai dans tout ça ». Mieux il fait savoir que, « l'avion n'a qu'un retard de 24 heures et les laissés en rade, n'étaient que 64 passagers plus d'autres privés qui se sont manifestés par la suite ». Le ministre précise que : « nous avons fait des communiqués, nous avons appelé certains pèlerins au téléphone et les autres, on n’a pas réussi à les avoir. La communication n'a pas bien passé. Quand j'ai entendu dans la presse qu'il y avait des pèlerins laissés en rade, qu'ils n'ont rien à manger et qu'ils ont passé la nuit dehors, j'ai dépêché une équipe sur les lieux et elle n'a trouvé que cinq ». Même s'il considère que le retard n'a été que d'un jour, il n'en reconnaît pas moins que, cela a entraîné des changements. « La charge de l'avion a été augmentée, au lieu de 4 tonnes de bagages, on a pris 5 tonnes. Et plus l'avion est lourd, plus il va prendre de temps. Au lieu d'amener 330 passagers, il va amener 379. Ce qui justifie l'escale à Tripoli pour remplir du kérozène ». Ce qui n'a rien à voir avec « un atterrissage forcé ». Il précise même que, « l'avion fera de nouveaux escales à Tripoli.
En tout cas Abib Sy rasure que "sur les 4 000 et quelques pèlerins inscrits, la moitié est déjà acheminé et que Zam Zam s'engage à affréter le reste avant le 30 novembre".
« Je ne cherche qu'à rétablir la vérité des faits, pour éclairer l'opinion sur toutes les sortes de rumeurs qu'on a entendus tous ces derniers temps, sur l'avion devant affréter les pèlerins. Nous avons choisi Zam Zam, parce qu'elle nous a proposé 1 300 000, là où Air Sénégal international (Asi) offrait 1 650 000. Il y avait donc une différence de 350 000 »,
Revenant sur la signature des négociations avec Zam Zam, le ministre a rejeté toute insécurité et précise: «Avant de signer le contrat, nous avons pris le soin de procéder au contrôle documentaire d'un Dc10 pour lequel les papiers nous ont été présentés. Les experts ont procédé pendant trois jours aux vérifications documentaires, sur le site de la Nas, qui est la deuxième compagnie saoudienne ». Mais comme le contrôle documentaire seul ne suffit pas, « une deuxième mission a été effectuée à Jeddah, où l'avion a été physiquement présenté aux experts. Ils ont fait des vérifications sur la traçabilité de l'avion sur les 9 dernières années, tout ce qui a été fait comme réparations, est ce que ces réparations ont été conformes aux normes du constructeur ». Ce qui avait permis aux experts d'avoir une revue documentaire de l'avion. Mais, « il restait un seul document qui n'avait pas été fourni et qui était disponible en Afrique du Sud. On leur a dit si vous ne donnez pas ce document, on ne peut pas garantir la sécurité de faire voyager cet avion chez nous », souligne le ministre. Chose qui a été finalement faite, avec la partie saoudienne, qui est parti en Afrique du Sud récupérer le document en question et rattraper les experts du Sénégal en Tunisie, pour le leur remettre. Après vérification faite, ce document était conforme ». Ce n'est donc qu'au terme de tout ce processus, que les experts ont produit un rapport, pour confirmer que, « l'avion est conforme aux normes de sécurité pour transporter les pèlerins sénégalais », selon Abib Sy.
Le ministre a aussi expliqué les deux incidents connus par l'avion. « Au premier vol, nous avons constaté un dysfonctionnement. C'était dû par un problème de climatisation et de température. Au troisième vol, c'était un simple problème de démarreur ». Pour lui, toutes ces informations sous le compte de rumeurs. Car, « rien n'est vrai dans tout ça ». Mieux il fait savoir que, « l'avion n'a qu'un retard de 24 heures et les laissés en rade, n'étaient que 64 passagers plus d'autres privés qui se sont manifestés par la suite ». Le ministre précise que : « nous avons fait des communiqués, nous avons appelé certains pèlerins au téléphone et les autres, on n’a pas réussi à les avoir. La communication n'a pas bien passé. Quand j'ai entendu dans la presse qu'il y avait des pèlerins laissés en rade, qu'ils n'ont rien à manger et qu'ils ont passé la nuit dehors, j'ai dépêché une équipe sur les lieux et elle n'a trouvé que cinq ». Même s'il considère que le retard n'a été que d'un jour, il n'en reconnaît pas moins que, cela a entraîné des changements. « La charge de l'avion a été augmentée, au lieu de 4 tonnes de bagages, on a pris 5 tonnes. Et plus l'avion est lourd, plus il va prendre de temps. Au lieu d'amener 330 passagers, il va amener 379. Ce qui justifie l'escale à Tripoli pour remplir du kérozène ». Ce qui n'a rien à voir avec « un atterrissage forcé ». Il précise même que, « l'avion fera de nouveaux escales à Tripoli.
En tout cas Abib Sy rasure que "sur les 4 000 et quelques pèlerins inscrits, la moitié est déjà acheminé et que Zam Zam s'engage à affréter le reste avant le 30 novembre".
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