"Notre problème ne date pas de maintenant. Le problème c’est qu’on ne peut pas trouver d’explication logique à ce qu’il a fait. Son geste ne pouvait être sans conséquence. En me poussant vers le public, il savait pertinemment qu’il y aurait des représailles, surtout dans un campus universitaire. Dans ce lieu d’éducation, c’est un autre comportement qu’il aurait dû avoir en tant que porteur de voix. (…) Personnellement, j’ai pitié de lui. Je n’éprouve rien d’autre que de la pitié à son égard. Il a assez de soucis comme ça avec l’étudiant qui a été fauché avec son véhicule. Quant à moi, je suis quitte avec ma conscience, je n’ai rien à me reprocher. Car, je n’étais pas à l’origine de l’incident, j’ai d’autres chats à fouetter plutôt que de porter plainte contre lui", a fait savoir Canabasse.