Pour les besoins de cette cause, le Bureau politique du Ps soutient qu’il reste plus que jamais ouvert au dialogue, à la discussion sans poser de condition préalable. «Nous pensons, à l’instar de toutes les formations politiques mem bres de Bennoo, que le débat doit être élargi et renforcé à toutes les échelles, à tous les segments de la société». De cette réflexion jaillira, selon les camarades de Ousmane Tanor Dieng un programme commun de gouvernance à même de constituer une alternative crédible à celle de Wade.
De là à affirmer que le Ps va renoncer à toute ambition à la prochaine élection présidentielle en acceptant de mourir pour renaître sous d’autres formes, est un pas que les Socialistes se gardent bien de franchir. «Il y’en a au sein du Bp qui pensent que le parti doit impérativement préparer et présenter la candidature de Tanor, tout com me d’autres estiment que le parti doit privilégier la dynamique unitaire de l’opposition qui nous a valu les bons résultats obtenus à l’issu des dernières Locales» rappelle M. Bow. Le débat est lancé soupire-t-il.
En revanche, ce dont il est certain est que le Ps refuse de parrainer une quelconque candidature d’une personnalité qui serait issue des rangs de la société civile, qui une fois élue, assurerait la transition pour une période de 2 ans selon le vœu d’une certaine opinion. «C’est risqué car untel peut bel et bien refuser de démissionner le moment venu et nous n’y pourrons rien», argumente-t-il. «Nous sommes des politiques, notre mission c’est la conquête et l’exercice du pouvoir», explique-t-il.
Le Parti socialiste qui s’est par ailleurs exprimé sur la situation politique nationale regrette les propos tenus par le Président Wade lors de son retour de ses vacances en Europe. Il s’agit, à leur avis, ni plus ni moins que d’une supercherie. «Ce ne sont pas ces milliards virtuels qui vont changer la situation des Sénéga lais éprouvés qui pataugent pour certains dans l’eau et qui pour d’autres sont dans les ténèbres».
Par Oumar Seydou BA le quotidien
De là à affirmer que le Ps va renoncer à toute ambition à la prochaine élection présidentielle en acceptant de mourir pour renaître sous d’autres formes, est un pas que les Socialistes se gardent bien de franchir. «Il y’en a au sein du Bp qui pensent que le parti doit impérativement préparer et présenter la candidature de Tanor, tout com me d’autres estiment que le parti doit privilégier la dynamique unitaire de l’opposition qui nous a valu les bons résultats obtenus à l’issu des dernières Locales» rappelle M. Bow. Le débat est lancé soupire-t-il.
En revanche, ce dont il est certain est que le Ps refuse de parrainer une quelconque candidature d’une personnalité qui serait issue des rangs de la société civile, qui une fois élue, assurerait la transition pour une période de 2 ans selon le vœu d’une certaine opinion. «C’est risqué car untel peut bel et bien refuser de démissionner le moment venu et nous n’y pourrons rien», argumente-t-il. «Nous sommes des politiques, notre mission c’est la conquête et l’exercice du pouvoir», explique-t-il.
Le Parti socialiste qui s’est par ailleurs exprimé sur la situation politique nationale regrette les propos tenus par le Président Wade lors de son retour de ses vacances en Europe. Il s’agit, à leur avis, ni plus ni moins que d’une supercherie. «Ce ne sont pas ces milliards virtuels qui vont changer la situation des Sénéga lais éprouvés qui pataugent pour certains dans l’eau et qui pour d’autres sont dans les ténèbres».
Par Oumar Seydou BA le quotidien