"Il faut laisser à tous les fils du Sénégal, de participer à ces joutes électorales. Arrêtons notre comportement de vignerons homicides dans le champ politique. Arrêtons d'éliminer tous ces hommes politiques qui incarnent l'espoir du peuple, espoirs de beaucoup de personnes. Tous ces hommes politiques que Dieu envoie dans le champ de vignes de notre pays, ont le droit de participer", a déclaré ce dernier. Ses propos sont transcrits par "Vox pop".
A l'en croire , il faut donner à tous les candidats déclarés, la chance de participer et Dieu choisira pour le Sénégal. «Il a même déjà choisi un candidat qui apportera la paix, la justice et le bonheur. On ne doit pas interdire à un fils de ce pays, de participer aux présidentielles de 2024», a martelé Abbé André Latyr Ndiaye.
Cette sortie, diffusée dans les réseaux sociaux, est loin d'être une première pour le religieux, membre du clergé catholique. Pour preuve, l'Abbé André Latyr Ndiaye, curé de la paroisse de Gorée, avait, dans une lettre ouverte, adressée au président Abdoulaye Wade, et publiée le samedi 12 décembre 2009, dans plusieurs quotidiens sénégalais, apporté une réponse cinglante contre le locataire du Palais. Lequel avait commis l'erreur de parler de l'absence de reconnaissance de l'église catholique.
A l'en croire , il faut donner à tous les candidats déclarés, la chance de participer et Dieu choisira pour le Sénégal. «Il a même déjà choisi un candidat qui apportera la paix, la justice et le bonheur. On ne doit pas interdire à un fils de ce pays, de participer aux présidentielles de 2024», a martelé Abbé André Latyr Ndiaye.
Cette sortie, diffusée dans les réseaux sociaux, est loin d'être une première pour le religieux, membre du clergé catholique. Pour preuve, l'Abbé André Latyr Ndiaye, curé de la paroisse de Gorée, avait, dans une lettre ouverte, adressée au président Abdoulaye Wade, et publiée le samedi 12 décembre 2009, dans plusieurs quotidiens sénégalais, apporté une réponse cinglante contre le locataire du Palais. Lequel avait commis l'erreur de parler de l'absence de reconnaissance de l'église catholique.