leral.net | S'informer en temps réel

Candidature d’Abdoulaye Wade : des juges sous pression

Ils sont cinq. Cinq magistrats du Conseil constitutionnel qui vont devoir se prononcer sur la validité de la candidature d’Abdoulaye Wade à la présidentielle sénégalaise de 2012. Cinq hommes sur lesquels tous les regards sont braqués.


Rédigé par leral.net le Mardi 1 Novembre 2011 à 22:28 | | 26 commentaire(s)|

Candidature d’Abdoulaye Wade : des juges sous pression
C’est bien connu?: la fonction de sélectionneur de l’équipe nationale de football n’est pas de tout repos. Mais, depuis quelques jours, Amara Traoré, le coach des Lions de la Teranga, jouit d’une rare tranquillité. Cette parenthèse, il la doit en partie à ses joueurs, qui, début octobre, se sont brillamment qualifiés pour la prochaine Coupe d’Afrique des nations, mais plus encore – et bien malgré eux – aux membres du Conseil constitutionnel. Car aujourd’hui, résume avec humour un collaborateur des cinq « sages », ce n’est plus pour le sélectionneur que chaque Sénégalais se prend, mais pour le président du Conseil constitutionnel. On monte en grade?!
Depuis près de deux mois, Cheikh Tidiane Diakhaté, le président venu de la magistrature, Isaac Yankhoba Ndiaye, le vice-président issu du sérail universitaire, Malick Chimère Diouf, un magistrat, Siricondy Diallo, qui vient de l’inspection générale, et Mouhamed Sonko, un autre magistrat, sont au centre de toutes les attentions et de toutes les spéculations. Il faut dire que les cinq « sages » auront à remplir une lourde tâche dans trois mois?: ce sont eux qui, le 27 janvier, décideront de la validité de la candidature d’Abdoulaye Wade à un nouveau mandat.
Police antiémeutes
La Constitution limite à deux le nombre de mandats présidentiels consécutifs. Mais cette nouvelle donne – il n’y avait aucune limite auparavant – date de 2003. Wade avait donc déjà entamé son premier mandat. La loi est-elle rétroactive?? Oui?! assurent les opposants, confortés par plusieurs juristes, dont Babacar Gueye, qui a participé à sa rédaction. Non?! rétorque le camp du président, qui se fonde sur l’avis d’autres juristes tout aussi éminents.
Mais le débat de fond a vite dérivé. Depuis plusieurs semaines, pas un jour ne passe sans qu’un journaliste ou un opposant évoque la complicité des sages avec le président sénégalais. L’opposant Abdoulaye Bathily les a même comparés à l’ancien président du Conseil constitutionnel ivoirien, Paul Yao Ndré, qui avait validé contre toute évidence l’élection de Laurent Gbagbo l’année dernière. « Toute cette agitation autour d’une institution qui se doit d’être discrète est regrettable, peste un juriste. Elle met à mal la stabilité de l’ensemble des institutions de la République. On peut s’attendre au pire. »
Mardi 18 octobre. Plusieurs escadrons de policiers antiémeutes quadrillent les abords du palais de justice de Dakar. Dans la salle d’audience numéro un, Malick Noël Seck, un jeune socialiste, est à la barre. Après avoir adressé au président Diakhaté une lettre de doléances dans laquelle il le somme en des termes peu diplomatiques d’invalider la candidature de Wade, il a été inculpé de « menaces de mort » et d’« outrage à magistrats », et embastillé. Dehors, il n’y a pas grand monde. Mais à l’intérieur, on étouffe. Il y a là des journalistes, des militants, de simples spectateurs et pas moins de quatorze avocats. Le représentant du parquet requiert cinq ans de prison ferme. Les avocats s’étranglent. « Si Malick Noël Seck n’a jamais menacé les membres du Conseil constitutionnel, je peux dire que le parquet menace, avec ce réquisitoire, l’ensemble des citoyens sénégalais », clame l’un d’eux.
Bien gardé
Quelques kilomètres plus loin, le long de la corniche. L’ambiance est plus sereine dans l’enceinte du Conseil constitutionnel. Il y a là aussi plusieurs gendarmes lourdement équipés. « La sécurité a été renforcée ces derniers jours », explique un collaborateur des sages. Chacun d’entre eux s’est vu adjoindre un garde du corps, leur domicile est désormais surveillé et l’entrée du Conseil bien gardée. « Avant, on entrait là-bas sans problème. Il y avait tout juste un gendarme en faction », rapporte un visiteur d’un jour. Dans un pays qui a déjà vu un de ses juges constitutionnels tomber sous les balles (Babacar Sèye, le vice-président du Conseil constitutionnel assassiné par trois hommes en 1993), on ne badine pas avec ces questions.

Pour autant, les juges, qui refusent toute demande d’interview, ne croient pas à un tel scénario. « Nous n’avons pas peur. Nous sommes tous habitués à ce genre de situation », explique l’un d’eux, qui a accepté de témoigner à condition que son anonymat soit préservé. Des rumeurs ont couru?: ils auraient changé de numéro de portable, opté pour un déménagement vers un bâtiment moins exposé… Ils envisageraient même de démissionner. « Tout cela est faux. J’ai le même numéro depuis dix ans, dit notre témoin. Et il est totalement exclu que nous démissionnions. » Quant au déménagement, il était prévu depuis longtemps. Question de sécurité. De confort aussi.
Car ici, nous sommes loin des ors de la République. Dans les bureaux, la tapisserie est tachée et gondolée par l’humidité. Le mobilier, sommaire, n’est pas de grande qualité. « Nous n’avons même pas de groupe électrogène?! » peste une secrétaire. Selon plusieurs sources, le vice-président a coutume de dire à ses proches qu’il est mieux loti dans son bureau de l’université, où il continue d’exercer. Quant au président, il répète à chacun de ses visiteurs qu’il était bien plus exposé lorsqu’il travaillait au palais de justice, quand, au moment de sortir du tribunal, il passait au milieu des hommes qu’il avait condamnés…
Zèle
Leur indépendance est mise en doute?? « Ceux qui racontent tout cela nous connaissent-ils pour affirmer cela?? interroge notre témoin. Sur quoi se fondent-ils?? » Il est reproché au président Diakhaté d’avoir souvent tranché en faveur des régimes en place. À Malick Diouf, d’avoir manqué de pugnacité dans l’affaire Babacar Sèye, dans laquelle Wade a un temps été impliqué, avant de bénéficier d’un non-lieu. À Siricondy Diallo, d’avoir fait du zèle dans l’affaire des chantiers de Thiès, fatale à Idrissa Seck, l’ancien bras droit de Wade. À Mouhamed Sonko, d’avoir toujours été très soucieux de sa carrière. Et à Isaac Ndiaye, de ne pas être un constitutionnaliste, mais un privatiste. « Le Conseil constitutionnel n’a jamais eu bonne réputation », explique Babacar Gaye, qui a participé à la rédaction de la nouvelle Constitution. La faute notamment au système de désignation de ses membres, tous nommés par le président de la République.
En privé, les membres du Conseil assurent que tout sera fait dans les règles. Un rapporteur sera nommé par le président, il donnera son avis, puis les cinq juges en discuteront et voteront. « Le président, contrairement à ce qu’on a pu lire, n’a aucune influence sur nous. Et, s’il prenait une décision unilatérale, nous n’hésiterions pas à sortir de notre réserve », assure notre témoin. Ce dernier nous confiera, à la fin de notre entretien, que le cas Wade, cela fait deux ans qu’ils y pensent. Mais pour l’heure, aucun d’entre eux ne s’est aventuré à conclure quoi que ce soit. Le sélectionneur Amara Traoré ne s’est lui non plus pas encore prononcé.



jeuneafrique.com

( Les News )


1.Posté par siga diouf le 02/11/2011 09:01 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Les cinq sages sont comme leur qualification l'indique son des hommes sages. Ils sont compétents et indépendants. Ils n'ont que le droit comme matériel de travail et ils le diront pour valider ou invalider quelque candidature que ça soit

2.Posté par siga diouf le 02/11/2011 09:03 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Les membres du conseil constitutionnels ne sont pas des magistrats corrompus ni des poltrons qui cèdent la pression ou aux menaces. Ils feront leur travail consciencieusement. A ceux qui brandissent leur menace ils se fatiguent seulement ; ils n'auront jamais gain de cause

3.Posté par siga diouf le 02/11/2011 09:14 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Les membres du constitutionnel gère une institution très importante dans le dispositif républicain. Ils méritent respect et confiance de la part des citoyens sénégalais. Donc il faut arrêter les menaces de mort et la pression exercés sur eux.

4.Posté par siga diouf le 02/11/2011 09:16 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Le conseil constitutionnel dira le droit rien que le droit pour valider la candidature de wade. Parce que nak cette candidature elle est légale et légitime. Quiconque tentera de l'empêcher fera face au peuple qui a choisi le président comme son candidat

5.Posté par dono almamy le 02/11/2011 09:33 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Bien sûr, ils sont incorruptibles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ils diront leur droit et valideront la candidature de Wade. Ensuite le peuple crucifiera au poteau ce corrupteur.
Dono

6.Posté par schwarzeraal le 02/11/2011 09:58 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

mesdames et messieurs de la cour arretez ce bal masqué et appliquez les lois en vigueur ,nous avons voté des lois pour les respecter et etre des civilisés comme toutes les nations democratiques de ce monde,wade ou pas la vie va continuer mais comme on le sait le negre ne respecte pas ses propres lois on le lui faisait respecter á coups de fouets.les urnes parleront en 2012 et sur que la voix de siga diouf sera pour wade pauvre mbouroise

7.Posté par mafé le 02/11/2011 12:21 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

ilaires sont sages il faut les laisser f aire leur travail sans présion il est claire qu au soir du 27janvier la candidature de wade sera valider une opposition qui peut pas s unir un tour d un candidat ne peut pas diriger un pays c est le tassaro dédédédédédé

8.Posté par mafé le 02/11/2011 12:25 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

wade incontournable pour paracher ses grands projets qui ont pour nom les lycées et colléges de prosmixités les hopitaux ,les routes,l emploi des jeunes,le troisime age par son plan sésame les marchants ambulants etc

9.Posté par mafé le 02/11/2011 12:30 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

tatctcnor et niasse ont montré leur opportinusme laissez les 5 sages daire leur travil et n oubliez pas qu ils sont des sénégalais et qu ils ont des familles il faut du respect le sénégal n a pas besoin des jeunes comme barth et seck

10.Posté par Patisco le 02/11/2011 12:44 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Pourquoi l'homme ment-il ?

Pour rester heureux ou pour le devenir. En vérité, la plupart de nos mensonges ont pour mobile ce que Kant, encore une fois, appelle l'amour de soi [6]. Je mens pour ne pas être ridicule aux yeux d'autrui, pour être aimé. Mentir, c'est faire passer son bonheur avant son devoir : je ne me lève pas le matin avec l'intention de mentir, mais avec celle d'être sincère, "vérace", comme disent les philosophes. Mais voici que déjà surgit toute une série de cas où mon devoir d'être vérace contrarie mon désir naturel d'être aimé, admiré, d'être heureux enfin... C'est donc par amour de moi-même [9] que je vais me permettre de faire une exception à une règle à laquelle je reste foncièrement attaché : celle qui commande de ne pas mentir

En général ces menteurs ne citent personne car ilss n'ont pas de source

Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour

11.Posté par Mbour le 02/11/2011 12:45 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Le mensonge est éthiquement condamnable

A cette disqualification esthétique du mensonge, Kant substituera une inoubliable disqualification éthique et ce, parce que pour le penseur de Konigsberg, le mal vient de la contradiction [5] et qu'il me suffit en vérité d'être un instant attentif à ce que me murmure ma propre raison et la loi morale qui s'y trouve, pour comprendre que le mensonge est un acte contradictoire, triplement contradictoire.
D'abord parce que le mensonge est contradiction entre la parole et la pensée, et qu'il ruine l'essence même de la parole qui est la confiance. Tout acte de parole promet la vérité, même - et surtout! - l'acte de parole qui ment et qui peut aller jusqu'à jurer qu'il dit vrai, alors qu'il ment.

Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour

12.Posté par Ndiaganiao le 02/11/2011 12:47 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Pour une éthique du mensonge

Faut-il dire la vérité à l'enfant malade ? Toujours s'il la demande, répondrait Kant. Jamais, répondrait Jankélévitch, car ce serait alors ajouter à sa souffrance "la torture du désespoir" [13].
Entre ces deux réponses, également bien fondées, il nous paraît urgent de ne pas choisir. La révélation brutale d'un diagnostic mortel est scandale : on suffoque le malade, ses capacités de réception et de compréhension sont d'emblée saturées, et on le voue alors soit au déni et à la révolte agressive, soit au repli, au mutisme accablé.
Mais le mensonge, la dissimulation pieuse sont tout aussi scandales. On n'a pas le droit de voler à l'autre sa mort, cette rencontre décisive avec soi-même, avec sa plus secrète intériorité, que peut permettre l'approche de la mort. On méprise celui que l'on maintient dans un état d'ignorance. Et puis pouvons-nous croire que l'enfant ne devine pas, plus ou moins consciemment, qu'on lui ment ?

Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour

13.Posté par aicha le 02/11/2011 14:36 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Seul le deuxième mandat de Wade est concerné par l'actuelle constitution donc Wade a bel et bien droit à un autre mandat s'il réussi à briguer les suffrages des sénégalais, libre à vous nak l'opposition d’interpréter la loi comme vous l’entendiez puisque vous ne voulez pas affronter wade

14.Posté par aicha le 02/11/2011 14:38 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Le premier mandat n'est pas concerné par les modifications de la constitution parce que la loi ne peut pas rétroagir seul le deuxième mandat de Wade est concerné par l'actuelle constitution donc Wade a bel et bien droit à un autre mandat s'il réussi à briguer les suffrages des sénégalais, beugue beuré bagne beuré

15.Posté par maniéré le 02/11/2011 14:41 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

c'est vous les satans de journalistes qui veulent mettre les sages sous pression sinon ils ne vivent aucune pression, et le moment ils diront haut et fort quelques sont les candidats retenus, si la candidature de wade est recevable elle sera validée comme n'importe quelle candidature

16.Posté par maniéré le 02/11/2011 14:49 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

nous tous nous avons lu article hein, il n'est mentionné nul part que cette loi rétroagit, donc ce premier mandat n'est pas concerné par cette loi

17.Posté par yani le 02/11/2011 14:52 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

personne ne peut se substituer au conseil constitutionnel,les sages sont les seuls à avoir l'habilité de valider les candidatures et si la candidature de Wade est recevable elle sera validée comme n'importe quelle candidature.

18.Posté par yani le 02/11/2011 16:05 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

c'est vous les satans de journalistes qui veulent mettre les sages sous pression sinon ils ne vivent aucune pression, et le moment ils diront haut et fort quelques sont les candidats retenus, si la candidature de wade est recevable elle sera validée comme n'importe quelle candidature.

19.Posté par Aicha le 02/11/2011 16:06 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Le premier mandat n'est pas concerné par les modifications de la constitution parce que la loi ne peut pas rétroagir seul le deuxième mandat de Wade est concerné par l'actuelle constitution donc Wade a bel et bien droit à un autre mandat s'il réussi à briguer les suffrages des sénégalais, beugue beuré bagne beuré

20.Posté par schwarzeraal le 02/11/2011 16:48 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

si les75% se confirment pour wade au soir du 26 fevrier 2012 eh bien tant pis mais est ce que votre pouvoir d´chat va s´ameliorer jusqu´á maintenant vous vivez dans la misere et etes obligés de vous serrer la ceinture pour visiter un cybercafé.et si 75% detenaient ou se partageaient les richesses du pays ce serait un bon bilan et voter pour rester miserables toute sa vie

21.Posté par DIDI le 02/11/2011 17:41 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Les sages du conseil constitutionnel ne sont victimes d'aucune pression, c'est l'opposition qui qui commandite ce genre d'article pour qu'une fois la candidature de Wade validée par cette juridiction qu'elle dise ensuite que c'est parce que Wade a mis la pression sur eux.

22.Posté par DIDI le 02/11/2011 17:49 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Si les cinq sages sont sous pression c'est de la faute de l'opposition, tous les jours que Dieu fait elle profère des menaces à leur endroit, Wade a dit depuis le début qu'il respecterait la décision du Conseil Constitutionnel.

23.Posté par DIDI le 02/11/2011 18:00 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Je corrige l'auteur de l'article car le 27 janvier le conseil constitutionnel décidera sur tous les candidatures et non sur le seul cas du président Abdoulaye Wade.

24.Posté par DIDI le 02/11/2011 18:03 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

C'est l'opposition qui se presse et elle veut pousser le conseil constitutionnel à se prononcer sur la candidature de wade. le conseil Constitutionnel ne peut en aucun cas refuser la candidature de Wade car elle ne souffre d'aucune invalidité.

25.Posté par DIDI le 02/11/2011 18:05 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

L'opposition fait de son possible pour ne pas faire face à wade mais c'est peine perdue car beugue beuré, bagne beuré.

26.Posté par dd le 02/11/2011 18:58 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Allez Bamba Dièye, tu vas créer la surprise !!!

Nouveau commentaire :

Tout commentaire à caractère commercial, insultant, pornographique, raciste, homophobe, incitant à la violence ou contraire aux lois sénégalaises sera supprimé, Peut entraîner votre bannissement total du site