Trop, c’est trop. Carla Bruni-Sarkozy est en colère contre les médias qui ont diffusé des photos d’elle et surtout de sa fille. Depuis plusieurs jours maintenant, des photos volées de la Première dame tenant sa fille Giulia dans les bras circulent dans les rédactions. Sur certains clichés, on voit distinctement le visage du bébé né en octobre dernier. Si certains sites à l’étranger ont pris la liberté de diffuser la paparazzade, aucun ne l’a fait en France, ni aucun journal. C’était sans compter sur Paris Match qui fait même sa une avec la photo de Carla Bruni et de la petite Giulia dont le visage a été flouté. Une décision qui a provoqué l'ire de l’épouse de Nicolas Sarkozy.
Carla Bruni a donc pris la plume pour poster sur son blog un message à destination des médias et des journalistes. Elle rappelle que les photos ont été prises «sans aucune forme de consentement de (sa) part», si jamais certains doutaient de la véracité de la paparazade. «Je déplore toute utilisation faite de l’image de mes enfants ainsi que toute communication d’informations concernant leur intimité» regrette la Première dame avant d’ajouter: «Je ne peux accepter et je n’accepterai jamais que le droit de mes enfants à vivre libres et dans l’anonymat soit bafoué, quels que soient les enjeux, période électorale ou pas». Et de finir son billet par ces mots: «Je demande donc, encore une fois aux médias concernés, de respecter le droit à la vie privée de mes enfants en considérant le fait qu’ils ne peuvent pas vivre reclus». Carla Bruni, qui a appris de ses erreurs, a toujours regretté l'épisode 2008: lors d'un voyage en Jordanie avec Nicolas Sarkozy, l'un des premiers qu'elle faisait avec le chef de l'Etat, son fils Aurélien, alors âgé d’une dizaine d’années, avait été pris en photo sur les épaules de ce dernier. Les clichés du visage de l’enfant, tentant de se camoufler comme il pouvait, avaient alors fait la une de nombreux journaux.
En pleine campagne électorale, la frontière entre vie privée et vie publique est encore plus ténue pour les candidats et le risque d’instrumentalisation de l'intimité très élevé. La Première dame, qui multiplie ses apparitions dans les médias depuis quelques semaines, y parle parfois de sa fille, histoire de se montrer proche des électeurs et de leurs préoccupations -le président lui-même se risque à quelques confidences... En revanche, les Sarkozy ont choisi de ne pas montrer le visage de leur petite fille, même via un cliché officiel qui aurait évité ce genre de désagrément. Ainsi va la communication élyséenne...
Carla Bruni a donc pris la plume pour poster sur son blog un message à destination des médias et des journalistes. Elle rappelle que les photos ont été prises «sans aucune forme de consentement de (sa) part», si jamais certains doutaient de la véracité de la paparazade. «Je déplore toute utilisation faite de l’image de mes enfants ainsi que toute communication d’informations concernant leur intimité» regrette la Première dame avant d’ajouter: «Je ne peux accepter et je n’accepterai jamais que le droit de mes enfants à vivre libres et dans l’anonymat soit bafoué, quels que soient les enjeux, période électorale ou pas». Et de finir son billet par ces mots: «Je demande donc, encore une fois aux médias concernés, de respecter le droit à la vie privée de mes enfants en considérant le fait qu’ils ne peuvent pas vivre reclus». Carla Bruni, qui a appris de ses erreurs, a toujours regretté l'épisode 2008: lors d'un voyage en Jordanie avec Nicolas Sarkozy, l'un des premiers qu'elle faisait avec le chef de l'Etat, son fils Aurélien, alors âgé d’une dizaine d’années, avait été pris en photo sur les épaules de ce dernier. Les clichés du visage de l’enfant, tentant de se camoufler comme il pouvait, avaient alors fait la une de nombreux journaux.
En pleine campagne électorale, la frontière entre vie privée et vie publique est encore plus ténue pour les candidats et le risque d’instrumentalisation de l'intimité très élevé. La Première dame, qui multiplie ses apparitions dans les médias depuis quelques semaines, y parle parfois de sa fille, histoire de se montrer proche des électeurs et de leurs préoccupations -le président lui-même se risque à quelques confidences... En revanche, les Sarkozy ont choisi de ne pas montrer le visage de leur petite fille, même via un cliché officiel qui aurait évité ce genre de désagrément. Ainsi va la communication élyséenne...