A 45 jours de la présidentielle, la présence de la Première Dame sur un plateau de télévision n’a rien d’anodin. Carla Bruni-Sarkozy était hier l’invitée de « C à vous » (France 5) à l’occasion de la journée de la femme. Et l’épouse du chef de l’Etat en a profité pour parler de son rôle durant ce quinquennat mais aussi pour défendre son mari.
« Je fais beaucoup d'erreurs. J'ai évité la boulette magistrale parce que je fais très attention, mais j'ai très peur », a-t-elle confié à Alessandra Sublet. L’ancien mannequin en a profité pour critiquer les médias, « très à charge contre [son] mari. ». « Vous en connaissez, vous, des journalistes qui sont pour mon mari ou même juste neutres ? », a-t-elle lancé, regrettant le fait que « le taux de critiques a atteint un niveau incroyable » tout en reconnaissant l’importance de la liberté de la presse.
« Peur qu’il meure »
Pour autant, « ces cinq ans ont été les plus extraordinaires de ma vie », a assuré Carla Bruni-Sarkozy. Alors qu’elle avait confié par le passé qu’un seul mandat présidentiel « en tant qu’épouse » lui suffirait, elle a expliqué hier soir qu’elle avait « peur pour lui ». « J'ai peur pour sa santé, ça paraît bête, mais parce qu'il se donne tellement à fond, il ne se ménage pas du tout. Il a un sens du devoir, Nicolas. (…) Donc j'ai peur qu'il meure, tout d'un coup, qu'il tire trop sur la corde », a-t-elle ajouté en riant.
SOURCE:ELLE.fr
« Je fais beaucoup d'erreurs. J'ai évité la boulette magistrale parce que je fais très attention, mais j'ai très peur », a-t-elle confié à Alessandra Sublet. L’ancien mannequin en a profité pour critiquer les médias, « très à charge contre [son] mari. ». « Vous en connaissez, vous, des journalistes qui sont pour mon mari ou même juste neutres ? », a-t-elle lancé, regrettant le fait que « le taux de critiques a atteint un niveau incroyable » tout en reconnaissant l’importance de la liberté de la presse.
« Peur qu’il meure »
Pour autant, « ces cinq ans ont été les plus extraordinaires de ma vie », a assuré Carla Bruni-Sarkozy. Alors qu’elle avait confié par le passé qu’un seul mandat présidentiel « en tant qu’épouse » lui suffirait, elle a expliqué hier soir qu’elle avait « peur pour lui ». « J'ai peur pour sa santé, ça paraît bête, mais parce qu'il se donne tellement à fond, il ne se ménage pas du tout. Il a un sens du devoir, Nicolas. (…) Donc j'ai peur qu'il meure, tout d'un coup, qu'il tire trop sur la corde », a-t-elle ajouté en riant.
SOURCE:ELLE.fr