Aziz Ndiaye veut venir au secours des lutteurs en chômage technique, mais est-ce que le Cng lui viendra en aide ? En voulant initier le Carrefour des Champions, qui sera un championnat de lutte avec frappe avec pas moins de trente et deux (32) et ou soixante quatre (64) lutteurs, (ce qui serait une première), Aziz Ndiaye sort l’artillerie lourde.
Pour le benjamin des promoteurs, faire ce que personne n’a jamais fait est son credo. «En effet, monter des combats est une chose que tous les promoteurs peuvent faire et font depuis des années. Mais rassembler une trentaine ou soixantaine de lutteurs en une journée, pour la lutte avec frappe, il faut le faire. En lieu et place du million ou des taureaux mis en jeu par les organisateurs, je mettrai en jeu cinq à dix millions», confie-t-il.
Le hic, c’est que le dossier est entre les mains du Cng depuis près de deux mois, sans réponse pour le moment. «C’est vrai que le dossier est remis au Cng pour étude. Depuis 45 jours, j’attends leur réponse», dit-il serein.
Le Cng va-t-il suivre Aziz Ndiaye dans sa démarche ?
Il est évident que la lutte simple est de loin différente de celle avec frappe. Si le cng est plus emballé sur l’organisation de la première discipline nommée, la deuxième va poser un réel problème. Quelque soit les combats montés par Aziz ndiaye en lutte avec frappe, même avec des lutteurs inconnus, la sécurité sera au cœur des débats. Imaginez des écuries environnantes d’une trentaine ou soixantaine de lutteurs sur un même stade et jusqu’à une heure avancée de la nuit. Sans compter qu’avec la lutte avec frappe, ce n’est pas évident d’enchaîner avec plusieurs rencontres d’où des blessures ouvertes entre autres.
Sans compter que le jeune promoteur n’a pas été tendre avec les instances dirigeantes de la lutte depuis la saison dernière. Ces griefs, même si on ne le dit pas pèseront sur la balance de la décision.
Pour le benjamin des promoteurs, faire ce que personne n’a jamais fait est son credo. «En effet, monter des combats est une chose que tous les promoteurs peuvent faire et font depuis des années. Mais rassembler une trentaine ou soixantaine de lutteurs en une journée, pour la lutte avec frappe, il faut le faire. En lieu et place du million ou des taureaux mis en jeu par les organisateurs, je mettrai en jeu cinq à dix millions», confie-t-il.
Le hic, c’est que le dossier est entre les mains du Cng depuis près de deux mois, sans réponse pour le moment. «C’est vrai que le dossier est remis au Cng pour étude. Depuis 45 jours, j’attends leur réponse», dit-il serein.
Le Cng va-t-il suivre Aziz Ndiaye dans sa démarche ?
Il est évident que la lutte simple est de loin différente de celle avec frappe. Si le cng est plus emballé sur l’organisation de la première discipline nommée, la deuxième va poser un réel problème. Quelque soit les combats montés par Aziz ndiaye en lutte avec frappe, même avec des lutteurs inconnus, la sécurité sera au cœur des débats. Imaginez des écuries environnantes d’une trentaine ou soixantaine de lutteurs sur un même stade et jusqu’à une heure avancée de la nuit. Sans compter qu’avec la lutte avec frappe, ce n’est pas évident d’enchaîner avec plusieurs rencontres d’où des blessures ouvertes entre autres.
Sans compter que le jeune promoteur n’a pas été tendre avec les instances dirigeantes de la lutte depuis la saison dernière. Ces griefs, même si on ne le dit pas pèseront sur la balance de la décision.