''Nous appelons l’État du Sénégal et le MFDC à formaliser ce cessez-le -feu précaire qui est certes une manifestation de la volonté des deux parties à négocier, mais qui ne nous rassure pas complètement '', ont elles déclaré dans un document remis à la presse, à l'occasion de la célébration de la Journée internationale de la femme rurale.
''L'autonomisation des femmes et leur rôle dans l'éradication de la pauvreté et de la faim, le développement et les défis de paix en Casamance'' est le thème de cette journée instituée par l'Organisation des Nations unies (ONU) et célébrée le 15 octobre de chaque année.
Des représentants de l'ONG bissau-guinéenne "Mom Ku Mom" (Main dans la main), qui avait facilité la libération des 12 démineur enlevés en mai dernier par des combattants du MFDC, ont pris part à la manifestation, organisée par USORAL,en partenariat avec l'ONG allemande WFD (Service civil pour la paix dans le monde.
''Nous ne voulons plus juste des déclarations d’intention. Nous voulons des actes plus concrets. Que l’État ou le MFDC proposent des dates, un calendrier, qu'on sente réellement des avancées'', ont insisté les femmes venues des communautés rurales d'Adéane, de Nyassia, d'Enampore, de Ziguinchor et de la Gambie.
Les femmes ont aussi appelé ''les facilitateurs qui ont la confiance des parties prenantes au conflit à créer des conditions pour se parler et harmoniser les démarches pour se hâter vers la table des négociations''.
Leur organisation (USOFORAL) a réaffirmé sa disponibilité et son engagement à travailler et à s'impliquer dans toute initiative allant dans ce sens.
APS
''L'autonomisation des femmes et leur rôle dans l'éradication de la pauvreté et de la faim, le développement et les défis de paix en Casamance'' est le thème de cette journée instituée par l'Organisation des Nations unies (ONU) et célébrée le 15 octobre de chaque année.
Des représentants de l'ONG bissau-guinéenne "Mom Ku Mom" (Main dans la main), qui avait facilité la libération des 12 démineur enlevés en mai dernier par des combattants du MFDC, ont pris part à la manifestation, organisée par USORAL,en partenariat avec l'ONG allemande WFD (Service civil pour la paix dans le monde.
''Nous ne voulons plus juste des déclarations d’intention. Nous voulons des actes plus concrets. Que l’État ou le MFDC proposent des dates, un calendrier, qu'on sente réellement des avancées'', ont insisté les femmes venues des communautés rurales d'Adéane, de Nyassia, d'Enampore, de Ziguinchor et de la Gambie.
Les femmes ont aussi appelé ''les facilitateurs qui ont la confiance des parties prenantes au conflit à créer des conditions pour se parler et harmoniser les démarches pour se hâter vers la table des négociations''.
Leur organisation (USOFORAL) a réaffirmé sa disponibilité et son engagement à travailler et à s'impliquer dans toute initiative allant dans ce sens.
APS
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
