"Il y a des affrontements en cours entre nos hommes et les rebelles" du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC, indépendantiste), a indiqué cet officier peu après 15H30 (locales et GMT).
"Nous avons envoyé des renforts militaires sur le terrain, accompagnés de l'avion de reconnaissance de l'armée", a-t-il dit.
Dans la matinée, un braquage avait eu lieu à hauteur du village de Maniora, vers 09H00 (locales et GMT). Selon la même source militaire, des "rebelles" ont attaqué quatre véhicules (un bus, deux taxis sept places et un camion citerne).
Selon des témoignages de passagers, les voyageurs se sont fait voler de grosses sommes d'argent, leurs bijoux et téléphones portables.
L'armée est intervenue peu après, poursuivant les assaillants se repliant du côté de la frontière avec la Gambie. Des échanges de tirs avaient alors eu lieu.
La "verte Casamance" est une région enclavée dont le développement est entravé depuis 1982 par une situation de "ni guerre ni paix". En dépit de l'accord de 2004, les accrochages entre l'armée et la rébellion n'ont jamais cessé et se sont même multipliés depuis un an, faisant de nombreux morts, civils et militaires.
"Nous avons envoyé des renforts militaires sur le terrain, accompagnés de l'avion de reconnaissance de l'armée", a-t-il dit.
Dans la matinée, un braquage avait eu lieu à hauteur du village de Maniora, vers 09H00 (locales et GMT). Selon la même source militaire, des "rebelles" ont attaqué quatre véhicules (un bus, deux taxis sept places et un camion citerne).
Selon des témoignages de passagers, les voyageurs se sont fait voler de grosses sommes d'argent, leurs bijoux et téléphones portables.
L'armée est intervenue peu après, poursuivant les assaillants se repliant du côté de la frontière avec la Gambie. Des échanges de tirs avaient alors eu lieu.
La "verte Casamance" est une région enclavée dont le développement est entravé depuis 1982 par une situation de "ni guerre ni paix". En dépit de l'accord de 2004, les accrochages entre l'armée et la rébellion n'ont jamais cessé et se sont même multipliés depuis un an, faisant de nombreux morts, civils et militaires.