Mais, ce point de vue n’est pas partagé par les populations de zone qui pensent le contraire.
A en croire notre confrère qui a interrogé des gens de la localité, le problème est «très sérieux et trop traumatisant» pour ces populations qui ont même peur de voyager à travers les routes de la région méridionale.
Mamadou Alpha Diallo, correspondant local de presse depuis vingt ans, qui connaît bien la zone témoigne que la situation n’est pas facile. «Je ne pense pas qu’on puisse relativiser ce problème. Parce qu’il y a eu mort d’homme, des destructions de véhicules, des braquages», a campé le journaliste, interrogé par notre confrère de la Rfm.
«La population, notamment les voyageurs, est, aujourd’hui, de manière générale, traumatisée et se pose des questions. Vu tout cela, on ne peut pas considérer cette situation comme un épiphénomène», a ajouté M. Diallo qui estime que le problème doit se régler autour d’une table. «On ne peut pas régler le problème qui prévaut en Casamance avec des armes ; ce n’est pas possible», a indiqué le journaliste qui souligne que la solution «sera trouvée autour d’une table».
A noter qu’il y a eu un regain de violence à quelques jours de la fête de Tabaski (fêtée hier) dans la partie sud, qui a coûté la vie à 4 personnes dont un militaire et plusieurs blessés.
Charles Thialice SENGHOR / pressafrik.com
A en croire notre confrère qui a interrogé des gens de la localité, le problème est «très sérieux et trop traumatisant» pour ces populations qui ont même peur de voyager à travers les routes de la région méridionale.
Mamadou Alpha Diallo, correspondant local de presse depuis vingt ans, qui connaît bien la zone témoigne que la situation n’est pas facile. «Je ne pense pas qu’on puisse relativiser ce problème. Parce qu’il y a eu mort d’homme, des destructions de véhicules, des braquages», a campé le journaliste, interrogé par notre confrère de la Rfm.
«La population, notamment les voyageurs, est, aujourd’hui, de manière générale, traumatisée et se pose des questions. Vu tout cela, on ne peut pas considérer cette situation comme un épiphénomène», a ajouté M. Diallo qui estime que le problème doit se régler autour d’une table. «On ne peut pas régler le problème qui prévaut en Casamance avec des armes ; ce n’est pas possible», a indiqué le journaliste qui souligne que la solution «sera trouvée autour d’une table».
A noter qu’il y a eu un regain de violence à quelques jours de la fête de Tabaski (fêtée hier) dans la partie sud, qui a coûté la vie à 4 personnes dont un militaire et plusieurs blessés.
Charles Thialice SENGHOR / pressafrik.com