‘’Le pays n’est la propriété de personne parmi ces gens-là. Ils doivent discuter et entretenir la concertation, pour que prévale la paix et la stabilité au Sénégal’’, a dit M. Mbacké, qui s’exprimait en wolof lors d’une conférence de presse du comité d’organisation du Magal.
Le rappel du porte-parole du khalife des mourides intervient dans un climat politique tendu au Sénégal, avec la mort d’un jeune homme, le 22 décembre à Dakar, lors de l’attaque des locaux d’une mairie d’arrondissement par des nervis.
La commune d’arrondissement de Sacré-Coeur – Mermoz, cible des assaillants, est dirigée par Barthélémy Dias, un militant du Parti socialiste (PS, opposition), emprisonné dans le cadre de l’enquête judiciaire sur la mort de l’un des nervis.
Ces derniers sont supposés appartenir au Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir).
Parlant du rapport des religieux à la politique, il a ajouté : ‘’Si les chefs religieux parlent de politique, on dit que cela ne les regarde pas. S’ils se taisent, on le leur reproche.’’
Les membres du comité d’organisation se sont entretenus avec les journalistes de plusieurs volets de l’organisation du Magal, la distribution de l’eau par exemple.
‘’Il y a eu beaucoup d’amélioration concernant l’eau. L’essentiel, c’est que l’Etat et les citoyens jouent chacun leur rôle’’ pour résoudre définitivement l’équation de l’eau à Touba, a signalé le président du Comité d’initiative eau de Touba (CIET), Serigne Moustapha Mbacké.
‘’Il y a des problèmes, mais il y a des acquis aussi’’ dans l’approvisionnement en eau de la ville de Touba, a-t-il souligné, avant d’ajouter : ‘’Le problème n’est pas aussi aigu qu’on le dit souvent. […] Si tout le monde s’y met, l’équation de l’eau sera résolue.’’
‘’Est-ce que le Magal n’a pas dépassé les capacités d’organisation de l’Etat ? L’Etat a doit relever le défi de l’organisation du Magal. Il doit être à la hauteur’’, a commenté Serigne Cheikh Abdou Lahat Mbacké Gaïndé Fatma, président de la commission chargée de la culture et de la communication au comité d’organisation du Magal.
aps
Le rappel du porte-parole du khalife des mourides intervient dans un climat politique tendu au Sénégal, avec la mort d’un jeune homme, le 22 décembre à Dakar, lors de l’attaque des locaux d’une mairie d’arrondissement par des nervis.
La commune d’arrondissement de Sacré-Coeur – Mermoz, cible des assaillants, est dirigée par Barthélémy Dias, un militant du Parti socialiste (PS, opposition), emprisonné dans le cadre de l’enquête judiciaire sur la mort de l’un des nervis.
Ces derniers sont supposés appartenir au Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir).
Parlant du rapport des religieux à la politique, il a ajouté : ‘’Si les chefs religieux parlent de politique, on dit que cela ne les regarde pas. S’ils se taisent, on le leur reproche.’’
Les membres du comité d’organisation se sont entretenus avec les journalistes de plusieurs volets de l’organisation du Magal, la distribution de l’eau par exemple.
‘’Il y a eu beaucoup d’amélioration concernant l’eau. L’essentiel, c’est que l’Etat et les citoyens jouent chacun leur rôle’’ pour résoudre définitivement l’équation de l’eau à Touba, a signalé le président du Comité d’initiative eau de Touba (CIET), Serigne Moustapha Mbacké.
‘’Il y a des problèmes, mais il y a des acquis aussi’’ dans l’approvisionnement en eau de la ville de Touba, a-t-il souligné, avant d’ajouter : ‘’Le problème n’est pas aussi aigu qu’on le dit souvent. […] Si tout le monde s’y met, l’équation de l’eau sera résolue.’’
‘’Est-ce que le Magal n’a pas dépassé les capacités d’organisation de l’Etat ? L’Etat a doit relever le défi de l’organisation du Magal. Il doit être à la hauteur’’, a commenté Serigne Cheikh Abdou Lahat Mbacké Gaïndé Fatma, président de la commission chargée de la culture et de la communication au comité d’organisation du Magal.
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